silence dans la salle.

Invité "Invité" Invité Invité "Invité" bla

AINSLEY - Tae4021 ( zerochan.)

DEADLY SIN.

Nom : gunchi.
Prénom : Aesa.
Pseudo : Ainsley
Âge : 17 ans.
Date de mort : 12/05/13.
Pêché capital : L'envie.

My power

Stopper tout.
Ainsley pour faire stopper le temps, les gens et touuuut -nature etc- d'un geste. Un espèce d'arrêt sur image. D'une pensée. Si elle le souhaite bien sûr. Elle ne peut pas le faire par accident, car elle sait contrôler ce don. Au début, c'était désagréable de l'avoir. Car c'était ingérable et tout surgissait au mauvais moment.
Ce qu'elle trouve regrettable, c'est qu'elle est la seule à pouvoir bouger, observer ce phénomène qu'elle produit. Elle essaye de chercher pour voir si, avec un peu dé détermination, elle peut rajouter quelqu'un.

I AM...

Surnom : Ainsley.
Découverte du forum : Alors là...
Un avis sur le forum : Perfection.
Premier mot qui te vient à l'esprit :
Si je te dis awesome : [narnar]Gud.
Un mot pour la fin : rape me my friend.

Physique

Cheveux courts, qui ne touchent à peine ces épaules. Elle aime les caresser, en prendre soin. C'est comme une fierté. ( Elle les tient de sa mère, aujourd'hui plus de ce monde. Sa mère était son pilier, et ce fut un choc quand elle a dut admettre sa mort.) Fermons cette parenthèse de sa vie pour revenir au sujet. Ses cheveux sont châtains. Mais vraiment foncés, tellement qu'on dirait du noir. Mais elle le sait. qu'ils ne sont pas noirs. ET OUI, car elle se fout de votre avis. Elle rêvait d'avoir de longs cheveux longs étant petite, mais sa mère l'a toujours obligé à les avoir court. Alors au fil du temps, vous savez, on s'habitue et on ne veut pas autre chose.

Un petit nez retroussée, ça donne un air un peu enfantin à son visage qui semble être taillée de près dans une pierre. Je dis ça plutôt pour vous dire que son visage n'a pas de défaut, son Dieu a été cool et ne l'a pas pénalisé. Car, soyons francs, nous savons qu'à l'heure actuelle, beaucoup de gens misent sur le physique.
Paupières tombantes. Les yeux toujours placés à, sort qu'on pense qu'elle est toujours fatiguée ou juste paumée. C'est peut-être ce qu'elle est, non ? D'origine asiatique, elle a quand même de la chance -encore- d'être le moins ressemblant à une asiatique. {Je viens de sortir un truc là... } Sinon, couleur ils sont marrons clairs avec une touche de vert.

Elle est grande. Du moins elle se dit ça. Quand elle voit ses filles minuscules de son école. De son grand un mètre soixante-dix, élancée sur ses grandes jambes, elle aime courir. Sentir l'air dans ses cheveux et qui fait voler ses shorts trop larges. Son style est assez... basique. Portant des hauts dix fois trop grand pour elle, que ce soit en haut ou en bas -seulement pour les shorts en fait. - Car elle se sent à l'aise. Mais ça lui donne un air classe. Sa mère a toujours dit qu'elle était belle mais Ainsley ne s'est jamais réellement trouvé ainsi.

Sinon... vous avez du remarqué. Ainsley est aussi maigre que votre petit doigt. Quelque chose de familial, dis-ton. TU PARLES. Regardez ses parents à son âge, regardez ses cousines. Toutes rondelettes, elles bavent devant Ainsley.

Caractère

Chut. Ne parlez pas! Ecoutez son pas pressé, sa manière de regarder derrière elle. Elle ressent le besoin qu'on pense qu'elle est normal. "Je suis comme tout le monde!" Mais observez. Si vous êtes patient, vous verrez. Qu'elle panique intérieurement, qu'elle ne sourit pas sans des intentions derrières. Elle calcule, mais de manière naïve. Car elle pense contrôler sa personne, le monde qui l'entoure mais non ! Hey, regardez! Elle se cache. Elle fuit quelqu'un. Un regard perturbant. Mais bien sûr, en public personne ne le voit. Aesa, ou devrais-je dire à présent Ainsley, sait quand même gérer ce qu'elle ressent. Elle ne laisse pas grand chose paraître. Son visage est presque h24 inexpressif. Sauf... à quelques exceptions.

Ne faites pas de bruit. Oui, regardez! Elle s'est stoppée. Elle pleure, elle s'écroule dos à un mur. Personne ne la voit, car elle a apprit avec le temps à se faire invisible. "Aesa ? je ne connais pas." À l'école, elle n'est qu'une ombre silencieuse. Un silence qu'elle fait traîner derrière ses épaules. Qu'elle remet sur tapis à chaque fois qu'elle commence une nouvelle journée car elle ne peut pas faire autre chose. Elle n'est pas introvertie. Vous le pensez, vous ? Elle ne perçoit pas de joie à faire toutes ces choses qui plaisent aux jeunes de son âge. Pourquoi? Car la tranquillité, l'odeur des vieux bouquins l'attirent.

Elle admire de loin, elle envie ce qu'elle hésite à posséder, ce qu'elle rêve d'avoir aux autres. Se sentir populaire, se sentir bien dans sa peau et respirer la joie, la bonne humeur. Vous pensez réellement qu'elle l'a vécu? Et pouvoir pleurer sans avoir honte, sans se dire "et moi, j'ai quoi?", vous pensez qu'elle peut ressentir ça? Oh, elle bouge! Elle se relève, regarde à droite, à gauche. Des gens passent mais ne posent même pas leurs regards sur elle, sur sa personne qui ne réclame que ça. Elle sait qu'on parle d'elle dans son dos, que tout le monde pense qu'elle est asocial et n'a aucun réel ami. Est-ce vrai? Il est vrai qu'Ainsley se cloître dans sa solitude, dans son silence. bien que cela la dérange, elle ne fait aucun effort pour changer. Parce qu'elle se dit que c'est mieux ainsi, qu'elle ne peut plaire aux autres. Alors elle les envie, se crée son monde.

Les rares personnes l'ayant approchés, se sont fait rejetés. Quand des foutus personnes s'approchent. c'est marche arrière. Elle panique. Car elle pense qu'on va essayer de la duper, de lui faire du mal. Voir sa mère souffrir pendant des années à causer de gens irresponsables et sans moral lui a fait du mal à elle aussi. Elle s'enferme dans son monde. CE MONDE DE SILENCE, D'ENVIE. Ce monde où personne ne peut entrer. Mais elle rêve d'autre chose, de quelque chose de mieux...

-Quelques modifications & une correction à faire. -

Histoire

Muse - Undisclosed desires.

Silence.

Une femme court, tenant le dessous de son gros ventre. Elle pleure, elle panique. L'homme à côté d'elle décide de la porter. Elle gémit, elle a l'impression de mourir à petit feux. Elle s'accroche à lui pendant qu'il tente de courir. Il respire fort, elle sent son souffle. Elle ferme les yeux, après avoir regardé le ciel. Elle doit tenir le coups, car elle se sent dans les vapes. Ils arrivent à l'hôpital. Elle soupire, gémit et pleure. en se tenant toujours le ventre. Mais elle est heureuse.

« Madame! Poussez! »

Une dame, aussi belle que la vie elle-même se détruit à pousser, ce qu'elle attend depuis 9 mois. La marque de l'amour de sa vie. Elle est fière mais ne pensait pas souffrir autant. L'enfant, cette enfant qu'elle désire de toute son âme. Elle a déjà tout préparé. La chambre d'enfant, les habits, ses futurs jouets... Le père soupire devant tout cela, mais lui aussi est impatient. Il se dit qu'elle sera aussi belle que sa mère mais avec le caractère qu'il a.
Elle hurle, son visage transpire comme jamais de toute son existence. Sa tête s'écroule sur les coussins. Enfin, elle est là. Elle crie, un cri de survie venant de ses poumons qui viennent de s'activer. Elle sourit, d'une bonheur mélangé à la fatigue et l'épuisement.

Un bébé fait son premier pas, un magnifique sourire accompagné d'un rire même quand elle tombe. La joie enfantine de leur enfant donne un second souffle à ce couple. Car le père est souffrant. Mais il ne peut pas se permettre ça, car c'est sa fille. Sa petite Aesa, la prunelle de ses yeux. Il veut la voir grandir, la gronder quand elle se couchera tard ou qu'elle sortira avec un garçon. Se dire que le temps passe vite, et que sa petite fille est devenue une femme. Il veut pouvoir la réconforter pour ses peines de coeurs. Alors il profite, car il sait qu'il n'aura pas tout ça. Il lui donne tout l'amour du monde.
Il prend l'enfant dans ses bras, qui mordille ses doigts de ses petites dents qui poussent. Il se tourne vers la caméra que tient sa femme. Ils ne se sont pas mariés, le mariage est stupide pour eux. En fait, ils n'y pensent même pas. Rire. Le bambin rit de bon coeur en souriant de son sourire trouée. Aesa tend le bras vers sa mère, qui tient la caméra.

« Un an. Voir quelques mois, je ne promet rien. » Son médecin ne savait pas trop quoi lui dire, à ce père. Ils se connaissent depuis voilà des vingtaines d'années. Dire plus, le réconforter comme ferait tout bon médecins lui ai impossible. Il en souffrait aussi, mais avec le temps il a apprit que c'est la vie.
La mère ne cesse de pleurer, de s'accrocher au bras de son amour, en gémissant. Il lui chuchote des mots d'amours, des Ne t'inquiètes pas, tout va bien aller... Mais comment calmer la tempête, l'orage qui recouvre son coeur en voyant sa moitié paniquer? Il sait à quel point sa femme a souffert, il l'avait rendu heureuse et maintenant il doit partir. Lui, il accepte l'idée de la mort. Il prend juste plus de plaisir à inspirer, à sentir sa poitrine grossir, à sentir ses poumons se remplir. À entendre ses rires, ses gémissements à son boulot. Bien sûr il ne travaille plus à présent car il profite mais ça va lui manquer. Tout ça va lui manquer. La douce voix de la boulangère, les pleurs de son enfant, les gens qui gueulent car ils se sont rentrés dedans avec leurs vélos. Les jeunes amoureux sur les bancs... tout.

Silence.

Une marche assurée, la tête haute mais vide. Le sourire trouée disparue, pour laisser place à une bouche fermée, certes avec toutes ses dents mais qui ne sourit plus. Du haut de ses onze ans, Aesa a déjà perdu sa joie de vivre. Elle s'arrête devant un fleuriste, elle lève la tête en se tournant vers lui. Elle regarde la grande affiche qui s'offre à elle. «Offrez un gros bouquet pour votre père! » Ses paupières se baissent un peu. Elle serre le poing pendant que son autre va sur son front. Sa tête tourne, elle ne se sent pas bien. Elle relâche la pression de son poing. Son souffle est discret, pourtant c'est la seule chose qu'elle arrive à capter. Le nuage de fumée du restaurent/bar d'à côté lui monte au nez. Le rire de la foule ne parvient pas ses oreilles. Elle ne perçoit que « pour votre père! » Son esprit se fait lui aussi lourd. Un oeil se ferme mais elle le force à retrouver la lumière. Ses jambes tremblent. « pour votre père! » Ils se ferment. Elle tombe. Bruit de chaises. Un cri.

Bip bip...
Une chaleur enveloppe sa main. Son oeil s'entrouvre. Des sanglots. Sa mère, elle la reconnait. La lumière éblouit ses faibles yeux. Sa mère prit. L'esprit d'Aesa s'active enfin, elle reprend le contrôle. Sa main serre la sienne, comme un signal. Je suis là... ? La mère s'arrête de sangloter, elle se lève et se penche. Le visage d'Aesa se crispe, des larmes s'écrasent contre celui-ci. Une tête s'appuie sur le torse. Le monde retourne. L'espoir dans les mains de la mère revient, elle sanglote de peur, de joie, pour la vie.

Assise à sa place, la tête penchée vers ses mains posées en poing sur ses cuisses, elle écoute. J'ai entendu dire que sa mère est morte! Elle inspire. La pauvre... Elle expire. Depuis quand tu as de la pitié pour elle? Ses poings se serrent mais elle libère. Elle ne supporte plus ces cons, ces stupides enfants qui ne pensent qu'à parler sans comprendre. Qui n'osent même pas imaginer la douleur qu'est de perdre un proche, ce que pourrait lui engendrait d'entendre leurs chuchotements si discrets. Elle se lève brusquement, sa chaise tombe. Elle se fiche des remarques et se dirige vers la porte. En sortant elle hurle en tapant contre la fenêtre. Elle aurait aimé qu'elle se brise, qu'elle touche sa peau si douce qui n'a jamais goûté à la texture de la douleur. Elle observe son poing qui se serre, qui se contracte et libère la pression. Elle retourne dans la salle, se remarquant que le professeur est entrain d'arriver. Elle a envie de douleur, de douleur et seulement de douleur. Elle pousse de la main tout ce qui se trouve sur la première table qu'elle voit et la prend dans ses mains. Elle la porte jusqu'à l'extérieur. Aesa, que faites-vous ? Elle la regarde, puis soulève la table en reculant pour faire un grand geste pour jeter la table par la fenêtre. Elle savoure le bruit de verre qui se brise, le verre doit ressentir la même sensation qu'elle. Ah, sentir son âme s'éparpiller et ne faire qu'un avec la poussière qui traîne dans l'air. Des cris se sont fait entendre en dessous de la fenêtre. Des blessés? Mais qu'est-ce qu'elle s'en fout. Elle se retourne, dos au professeur perplexe à la situation dans laquelle il est. Il la laisse partir, de son pas robot et inanimé.

« AESA! À TABLE ! »
Aesa frotte ses yeux. Elle s'assoit sur son lit. Elle frissonne. Elle regarde où elle était. Une photo pliée en deux, un peu abîmée est là. Elle la saisit, et l'admire ainsi. Ses jambes ont encore maigris, Aesa est devenue maigre, elle s'est laissée mourir de faim et pas que. On voit le changement. Le teint pâle, l'expression vide et douloureuse. Les joues creuses. Elle vit à présent chez sa grand-mère paternel qui tient la forme. Elle se lève en gémissant au contraction de ses muscles. Bouger, se lever, s'asseoir, sauter, courir, lever le bras devient douloureux. vivre est douloureux. Elle sort de sa chambre, laissant la photo pliée sur son lit.

Je ne t'avais pas souhaité la bienvenue parce que je l'avais fait sur la cb.
(enfin, vite fait.)
Bienvenue, avec un immense reaaatrd. ♥
(allez, boude pas. ♥ )
Bonne chance pour la fin, fin de ta fiche. ♥

» Fiches

Time Out

Bonjour.
Ta fiche est toujours d'actualité? Cela fait largement plus d'un mois qu'elle est postée, mais n'est toujours pas terminée, et que je n'ai aucune nouvelle de celle-ci.
Si je n'ai aucune nouvelle dans les 5 jours (jusqu'au 13 septembre) qui vont venir, j'archiverais ta fiche dans le cimetière.

(Tu pourras bien sûr la récupérer du cimetière en m'envoyant un petit MP.)

Envoyer un MP à Narcisse

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée