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Rapunzel
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Wonderland
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I'm gonna bring colours in your life. ▲ Rapunzel
(Lun 7 Juil - 23:16)
bal





Daenerys Targaryen de
Game Of Thrones - A song of Ice and fire
Fanart de Never Bird Designs

WONDERLAND
Nom : inconnu
Prénom : Raiponce
Pseudo : Rapunzel
Âge : 16 ans
Date de mort : 16 ans - 8/12
Péché capital : Envie
Métier : Rapunzel peint. Mais bon, elle ne vend pas vraiment ses peintures mais on ne sait jamais alors, peintre pour the fun?

My power


Rapunzel a un pouvoir qui correspond, tout simplement, à perfection avec sa mort. Elle peut, en quelque sorte, créer de la peinture. La peinture, elle ne peut pas la jeter en l'air et faire de la pluie de peinture, mais plus l'utiliser comme un feutre. Parce que cette peinture provient de sa peau. Elle est capable de faire apparaître de la peinture à la surface de chaque parcelle de sa peau, même si elle utilise la plupart du temps ses doigts.

I AM...

Surnom : Anon parce qu'être anonyme c'est cool. Huhu.
Découverte du forum : Hohoho des gens trop azfrgerg
Un avis sur le forum : Je l'adore. Il est beau. Il est magnifique. Le contexte. Je. fezrfzergzet. Avec une icône ce serait parfait
Premier mot qui te vient à l'esprit : kawabunga
Si je te dis awesome : Je réponds poussin.
Un mot pour la fin :
'Ceci est sous spoiler parce que.. (attention) ça spoile. Alors si tu n'as pas lu l'histoire, vas la lire.:

Histoire

« Il était une fois un couple de paysans qui souhaitait avoir un enfant depuis longtemps. Un jour ce vœu fut exaucé et la femme enceinte se reposait dans sa chambre. Dans cette chambre, il y avait une petite fenêtre qui donnait sur un sublime jardin dans lequel poussaient toutes sortes de plantes et de fleurs, plus belles les unes que les autres. Ce jardin était entouré d'un mur et nul n'osait s'y aventurer parce qu'il appartenait à une sorcière puissante et crainte.
Un jour, la femme admira le jardin et vit de nombreuses raiponces qui lui paraissaient si verte, si fraîche et si goûteuse que l'envie d'en manger s'installa en elle et qu'elle rêva même de ces raiponces. Cette envie devint rapidement une obsession et l'idée de ne pouvoir jamais y goûter fit sombrer la femme dans une mélancolie languissante. Elle ne mangea plus rien et commença à dépérir et à maigrir d'une manière inquiétante. Son mari s'inquiéta et lui demanda quelle était donc la raison de ce malheur. Elle lui répondit que si elle ne mangeait pas de raiponces du jardin voisin elle mourrait.
Son mari décida de voler des raiponces afin de remédier au malheur et l'hypothétique mort de sa femme. C'est le soir même qu'il escalada le mur du jardin de la sorcière, qu'il prit une pleine poignée de raiponces et qu'il les apporta à sa femme. Elle s'en fit une salade et s'en délecta. Mais le goût avait tellement surpassé ses attentes que son envie tripla. Il fallait donc absolument que son mari lui en apporte d'autres.
À la tombée de la nuit, son époux se réintroduit dans le jardin de la sorcière. Mais lorsqu'il arriva devant les raiponces il fut paralysé d'effroi. La sorcière était devant lui. Folle de rage, elle le menaça et lui cria qu'il allait voir ce qu'il en coûte de vouloir la voler, elle. Il la supplia et lui expliqua que s’il n'avait pas volé ses raiponces sa femme serait morte à l'heure actuelle. La sorcière sembla réfléchir un instant et lui permit de prendre autant de raiponces qu'il voudrait, à la condition qu'à la naissance de leur enfant celui-ci reviendrait à la sorcière. Elle promit de s'en occuper telle une mère et le mari sous la pression de la terreur et du désespoir accepta sans hésiter. Quelques semaines plus tard, une jeune fille naquît, et la sorcière l'emporta avec elle. Elle la nomma Raiponce en honneur à la salade qui lui avait permis de l'acquérir.
Raiponce vécut paisiblement avec sa mère adoptive, qu'elle prenait pour sa vraie mère, jusqu'à son huitième anniversaire. Ce jour-là, fut le dernier où elle posa son pied dans le magnifique jardin auquel elle devait sa vie actuelle. Ce jour-là, la sorcière l'enferma dans une tour qui ne possédait, ni escalier, ni porte, et qui se dressait en plein milieu d'une forêt dense et peu connue. Le seul moyen qui permettait de sortir et d'entrer était de s'accrocher aux cheveux de Raiponce qui étaient d'une longueur exceptionnelle.
Raiponce ne pouvait donc pas sortir elle-même. La sorcière l'avait enfermée sous prétexte qu'il fallait se protéger du monde extérieur et que les autres humains étaient une menace à leur bonheur ; elle lui avait expliqué que cet enfermement n'existait que pour le bien de Raiponce. Raiponce, aimant sa mère adoptive telle une mère, accepta cette nouvelle forme de vie sachant que la sorcière lui avait promis que lors de ses dix-huit ans elle la laisserait de nouveau sortir.
Au début de leur arrivée dans la tour, Raiponce fut passionnée par la tour et explorait chaque recoin de cette prison. Elle prit également plaisir à peindre son environnement nouveau. La peinture. À cette époque ce fut ce qu'elle aimait par-dessus tout. Elle adorait peindre l'horizon et se faisait offrir de la peinture et des toiles. Sa mère lui donnait le nécessaire et Raiponce peignait tout ce qu'elle voyait. Mais au bout d'un moment, elle fut lasse de la tour ; lasse de ne pouvoir jamais sortir, lasse de connaître par cœur le paysage que la fenêtre unique de sa chambre lui offrait. Elle pria sa mère de la laisser faire une promenade, s'attendant à un accord. Sa mère refusa, lui rappelant qu'elle sortirait lors de ses dix-huit ans. Raiponce essaya d'argumenter mais rien n'y changea. Ce jour, fut le jour où elle se rendit compte de sa captivité.
En quelques semaines, l'amour et l'admiration que Raiponce avait pour la beauté du ciel, de la forêt se transforma en haine. Cette haine vivace se dirigeait également lentement vers sa mère adoptive qui restait tout de même intraitable. Raiponce essayait de faire du chantage à sa mère en disant qu'elle ne lui mettrait pas ses cheveux à dispositions si elle ne la laissait pas sortir, mais, peine perdue, la sorcière réussit à convaincre Raiponce de lui lancer ses cheveux à chaque fois en lui rappelant que c'était les différentes sorties de la sorcière qui lui procuraient peintures et nourritures. Raiponce peignait toujours. Mais elle ne peignait plus pour montrer la beauté, pour aimer. Elle peignait pour détester, pour détester ce qu'elle avait aimé. Elle haïssait le ciel et ses multiples dégradés de couleur. Elle haïssait la vue. Elle haïssait tout ce qui n'était peinture. Elle se sentit devenir folle, folle de rage, de désespoir et de frustration.
Elle vécut comme cela pendant des années. Puis vint son seizième anniversaire. Elle réclama le droit de sortir comme à son habitude et, comme à son habitude, la sorcière refusa. Sauf que cette fois-ci, Raiponce avait décidé de ne plus laisser passer de refus. Elle annonça alors que si elle ne voulait pas l'aider à sortir, elle sauterait en utilisant ses propres cheveux. La sorcière s’énerva et reprocha à Raiponce de ne pas l'aimer et de lui infliger un combat inutile alors qu'elle n'agissait que pour le bien de sa fille bien-aimée. Raiponce se tut et se retira dans sa chambre tout en claquant la porte.
L'enfermement qu'elle subissait la rendait folle. Elle fut prise d'une bouffée de folie et voulu jeter tous ses tableaux représentants soit ce qu'elle ne pourrait, pensait-elle sur le moment, jamais voir, soit les seuls paysages lui étant visibles de sa prison. Tremblant de rage et de haine, elle prit un premier tableau et le jeta par terre avant de planter son pied en pleins milieu de la forêt représentée. Elle répéta le geste plusieurs fois avant de prendre le tableau qui était à présent en lambeaux et de le jeter par la fenêtre qui paraissait être son seul échappatoire. Son échappatoire interdit et probablement meurtrier.
Sa mère, alertée par les bruits que son massacre avait fait, ouvrit la porte sans toquer, l’air inquiet. Ce que la sorcière aperçut la surprit presque autant que cela l'effraya. Raiponce s'était arrêtée en mouvement et semblait être en train de vouloir fracasser un de ses tableaux contre le mur proche de la fenêtre. La sorcière la regarda d'abord d'un air consterné puis demanda ce qu'elle était en train de faire. Raiponce lâcha le tableau et un morceau du cadre fut éclaté et envoyé à l'autre bout de la pièce. Elle ferma les yeux un instant et annonça d'un air dédaigneux qu'elle détruisait les représentations de ce paysage et de cette prison qu'elle haïssait.
La sorcière tremblait légèrement. Elle lui demanda d'arrêter. Voyant le manque de réaction de Raiponce, elle décida de la laisser se calmer toute seule pendant qu'elle ferait les courses. L'acte de faire des achats et d'acheter des choses nécessaires à la vie quotidienne. Un acte nécessitant de sortir de chez soi. Un acte, qui pour la sorcière voulait dire qu'elle allait devoir se servir des cheveux de sa fille adoptive. Raiponce écarquilla les yeux avec fureur. Elle poussa un cri de rage qui avait quelque chose de bestial. Elle tremblait telle une feuille à présent. La sorcière avança vers la fenêtre la tête haute, sans réagir à son cri, et tendit la main à Raiponce pour lui faire comprendre qu'elle voulait une mèche de ses cheveux.
Elle lui expliqua en même temps qu'ainsi elle aurait le temps de réfléchir à ses actions et qu'elle pourrait se débarrasser d'elle puisqu'elle semblait tant la détester. Raiponce ne bougea tout d'abord pas refusant d'accorder une sortie à celle qui l'enfermait dans cette tour. La voix de la sorcière qui était à présent agacée claqua dans la chambre et le 'si tu ne me laisses pas sortir tu ne pourras ni peindre, ni manger' fit sursauter Raiponce. Ce chantage avait marché pendant huit ans. Pendant huit ans, ses besoins de nourriture, d'eau et de la distraction qu'était la peinture l'avait contrainte à rester dans cette tour sans se plaindre. Au début l'amour qu'elle portait pour sa mère y était également pour quelque chose mais à présent cet amour avait laissé place à une haine brûlante.
Les tremblements de rage de Raiponce s'arrêtèrent et ce fut calme comme jamais, qu'elle releva la tête afin de regarder sa mère dans les yeux, d'avancer son bras droit, de poser sa main sur l'épaule de celle qui l'avait élevée, de pousser, de dire « Si tu veux tellement descendre, il y a un moyen bien plus simple. » avant d'augmenter la pression et d'observer la sorcière tomber en arrière une expression horrifiée sur le visage bouche bée comme si les mots prononcés par Raiponce avaient été un sort maléfique fatal.
Lorsque Raiponce se réveilla de sa léthargie, elle ne put dire si elle avait passé cinq minutes à observer le corps immobile de sa mère ou si elle y avait passé cinq heures. Elle écarquilla soudainement les yeux et tomba au sol. Elle sentit une substance liquide s'échapper de ses yeux. Elle se leva chancelante pour voir dans un miroir qu'elle pleurait. Elle pleurait parce qu'elle venait de tuer sa mère. Elle avait voulu sortir de cette tour et profiter de la liberté et à présent elle était enfermée dans cette tour seule sans espoir de survivre. Elle venait de tuer sa mère. Il y avait encore quelques réserves mais celles-ci ne tarderaient pas à s'épuiser. Elle avait assassiné sa mère. De plus, elle n'avait plus de cyan et ne savait qu'elle en aurait besoin afin de finir le tableau qu'elle avait commencé. Elle avait, de ses mains, pris la vie de sa mère. Les larmes sur ses joues redoublèrent. Elle était une meurtrière. Elle ne méritait pas de vivre. Elle allait mourir et elle l'aurait mérité. Elle trembla de nouveau. Cette souffrance lui offrit un moment de lucidité sur ces années et sur elle-même. Une lucidité qu'elle aurait préféré ne jamais avoir.
Cet enfermement l'avait rendue folle. Elle avait aimé sa mère et au fond d'elle la fille qui aimait celle qui l'avait élevée existait toujours. Cet enfermement l'avait fait haïr, haïr la nature, haïr les humains, haïr la peinture, haïr tout court. Elle ne voulait plus haïr. Elle était lasse de n'éprouver que de la haine. Elle avait tué sa mère par haine. Elle avait détruit ses tableaux bien-aimés par haine. Elle s'était détruite elle-même par haine.
Elle aurait aimé dire qu'à présent elle allait vivre en s'essayant à la légèreté et à l'amour mais cette possibilité n'existait plus. Les secondes chances n'existaient que dans les contes de fées pour enfants de quatre ans. En réalité, le personnage principal n'a pas de seconde chance. Elle allait mourir bientôt.
Cette réalité ce superposa à la faim qui commençait à la tenailler. Elle avait toujours cru qu'elle allait mourir de vieillesse comme dans les histoires. Un rire désespéré lui échappa. Elle allait mourir. Tout comme sa mère était morte, par sa faute. Elle lâcha à nouveau un rire qui, cette fois-ci, ressemblait fortement à un sanglot. Elle ne voulait pas être contrôlée par ses besoins. Elle ne voulait pas devoir se plier face à la mort. Elle voulait mourir de son propre grès et non avant.
Pourtant, elle savait qu'elle allait mourir.« Autant mourir maintenant, de mon propre chef puisque je n'ai pas le choix. » Elle ferma les yeux un moment afin de profiter encore pendant quelques instants de l'endroit dans lequel elle avait passé huit ans avant de s'approcher de la fenêtre.
Elle regarda le cadavre de sa mère. Elle avait été une femme fière et forte. Elle avait l'air faible et ratatinée. Le sang qui la décorait ne faisait que renforcer cet air de faiblesse et vulnérabilité. Raiponce décida qu'elle ne voulait pas que quiconque puisse la voir dans cet état. Elle allait mourir d'une façon ou d'une autre, quelques minutes n'allaient pas changer l'issu de cette journée. Elle prit, donc, une couverture et la fit tomber en essayant de recouvrir sa mère. La couverture ne recouvrit que son torse et sa tête mais Raiponce s'en contentât.
Elle était de nouveau entrée dans ce calme inexplicable et les larmes qui lui parcouraient le visage quelques minutes auparavant lui semblaient lointaines. Il était hors de question que sa sortie tant attendue se fasse de manière banale et qu'elle finisse avec un air aussi vaincu que le cadavre qui gisait au pied de la tour.
Elle prit donc les choses qui lui avaient permis de ne pas commettre ce meurtre irréparable bien plus tôt. Les petits tubes de gouache, puisque c'était la peinture qu'elle craignait le moins de gâcher, se vidèrent un à un sur la robe d'un blanc auparavant immaculé de Raiponce ainsi que sur sa peau d'une couleur qui se rapprochait plus du blanc que du beige. Elle se tartina de peinture jusqu'à ce qu'il n'y ait plus aucune trace de la couleur blanche de sa robe ou même de celle de sa peau. Ses paupières étaient alourdies par la peinture qui les recouvrait à présent. Le goût de gouache s'introduisait dans sa bouche et elle dut prendre sur elle de ne pas courir se renverser de l'eau sur son visage qui commençait à picoter.
Elle avança donc en se rapprochant de la fenêtre. Elle ne regarda pas sa mère et se mit debout sur la rambarde en pierre. Elle inspira lentement puis sourit. Elle souriait à la mort parce qu'elle ne voulait pas de fin malheureuse. Elle voulait une fin où sa haine avait presque disparue. Elle voulait une fin où elle saluait la mort tel un vieil ami. Elle sourit donc en ignorant les larmes qui mélangeaient les différentes couleurs que son visage avait à présent. Elle se laissa tomber en arrière et eu l'impression d'être portée par le vent.
Ce ne fut pas comme dans les livres, où l'auteur décrivait la chute comme un moment interminable. Sa chute ne dura ni dix minutes, ni cinq. Elle dura une demi-minute à peine. Lorsque son corps percuta le sol, elle n'était plus.
Il n'y avait que cette couverture qui recouvrait le cadavre de la sorcière et son cadavre à elle qui recouvrait la couverture. De la fenêtre, le spectacle n'aurait sûrement rien eu de beau, mais Raiponce était morte en étant persuadée de rencontrer la mort tout en laissant une œuvre d'art sur Terre. Une œuvre affreuse, mais une œuvre qui ressemblait bien plus à ce que Raiponce voyait de cette tour, bien plus à tous ces paysages qu’elle avait peint en boucle intérieurement que tous ces paysages qu'elle avait peint en boucle. »
Physique

Rapunzel est grande. Ou alors ce sont ses longs cheveux et sa fine corpulence qui la font paraître ainsi. Elle ne sait pas vraiment.
De toute façon, n'ayant pas été confrontée à la société elle n'est pas encore habituée à l'importance donnée à l'apparence et aux préjugés qui s'accordent avec telle coupe de cheveux et tel style vestimentaire. Enfermée tous les jours dans une tour, elle n'avait pas spécialement besoin de renvoyer une image ou d'avoir l'air spécialement magnifique.
Elle ne portait que des robes, tout simplement parce que les pantalons ou les jupes entraînaient la nécessité de porter un haut alors que porter une robe est bien plus simple et revenait moins cher à la sorcière. Ses robes n'étaient pas spécialement belles, vu que le seul moyen de gagner de l'argent était de vendre des légumes du potager et que cela ne rapportait pas énormément. De plus, les dépenses que sa mère consacrait à la passion de Rapunzel étaient assez amples. Rapunzel vécut donc sans accorder aucune importance à ses vêtements ou à son apparence. Elle était juste obligée de se brosser les cheveux afin de ne pas entraîner de complication aux descentes et montées de sa mère.
Mais à présent Rapunzel va être entourée de personnes inconnues constamment. Ce qui veut dire qu'il va falloir qu'elle soigne l'image renvoyée par son regard, ses vêtements et même son pas. Elle, qui a été contrôlée pendant toute sa vie, est dans le besoin constant de tout contrôler. De plus, pendant cette seconde chance, elle va essayer de se racheter et d'avoir une vie saine et gentille.
Dans cette seconde vie, elle va donc porter des couleurs chaudes qui mettent en confiance, des robes qui lui donnent un air avenant et innocent, et soigner son apparence afin de toujours contrôler l'image transmise aux autres. Cela n'empêche pas, qu'une fois chez elle, elle mette des robes qui sont tout aussi simple que celles qu'elle portait dans son ancienne vie afin de se sentir proche de sa mère. Parce que c'est important pour elle, de rendre sa mère fière d'elle afin de lui montrer qu'elle a changé.
Rapunzel apporte de l'importance au contrôle de son image et de l'apparence mais exècre le maquillage. Pour elle, en porter revient à mentir et à mépriser son propre visage. Elle déteste le mensonge et il est heureux qu'elle n'ait jamais su que sa mère n'était pas sa mère biologique. Rapunzel ne sait même pas qu'il faut un homme et une femme pour créer un enfant et est persuadée que ce sont des cigognes qui apportent les bambins. De toute façon Rapunzel a de la chance et est mal placée pour critiquer le maquillage puisqu'elle est dotée d'un visage qu'on ne peut qualifier que de beau. Il y a naturellement ces petites imperfections qu'elle voit dans son visage et qui sont présentes. Mais elle est belle.
Une chose qui l'agace également est le fait qu'elle soit mince. Elle mange peu et ne mange pas beaucoup de viande ou de poissons. Vu le potager de sa mère, elle a été habituée à manger des légumes en masse. Lorsqu'elle avait un petit creux, elle grignotait une carotte et non un biscuit. Tout cela fait que Rapunzel est mince. Elle n'aime pas cela. Elle n'aime pas cela parce qu'elle trouve que cela la fait ressembler à une princesse de conte de fée. Et qu'elle déteste cette comparaison. Parce qu'elle est la méchante. Oui, dans son histoire à elle, elle est celle qui a tué et qui a fait souffrir et non l’inverse. Alors elle essaye de manger beaucoup afin de grossir et de paraître plus normale.
Une des choses que Rapunzel aime dans son visage parce que sa mère lui répétait qu'elle les avait hérités d'elle, sont ses yeux. La ressemblance entre les yeux de Rapunzel et ceux de sa mère tient au fait que la sorcière lui fit boire une potion étant petite afin de donner à Rapunzel le signe qu'elle était une héritière de sorcière. Ses yeux n'ont pas une couleur naturelle. Ses yeux sont d'un violet améthyste. Elle aime ses yeux parce que ses yeux lui rappelle son passé et ses erreurs. Ses yeux la rappellent à l'ordre. Ses yeux lui disent ceci est ta deuxième et ta dernière chance, fais attention. Pour quelqu'un ignorant cette couleur particulière, de loin, ses yeux paraîtront tout simplement d'un bleu plus foncé que d'habitude. Mais elle le sait et cela lui suffit. De tout façon ses yeux sont la ressemblance entre sa mère et elle et personne d'autre n'est censé remarqué ces yeux qui représentent son passé et ses erreurs.

Caractère

Rapunzel est folle. Enfin, elle l'était. Parce qu'après la mort de sa mère, elle a décidé qu'elle ne serait plus démente, qu'elle serait saine d'esprit et qu'elle ferait du bien autour d'elle, qu'elle aimerait.
Sa mère représente tout ce qu'elle a gâché et tout ce qu'elle regrette. Sa mère représente également toute sa culpabilité et sa mère est la première chose qu'elle a réussi à aimer après toutes ses années de haine. Parce que c'est son but à présent, aimer ; et peindre.
Elle idéalise sa seconde chance. Elle pense qu'en revivant, elle deviendra quelqu'un de parfait. Mais en réalité, à présent, elle sera instable. Elle pourra passer d'une joie extrême à une panique et à un mépris du monde et d'elle-même tout aussi violent qu'avant la mort de sa mère, peut-être même plus. Rapunzel est une contradiction en soi. Si elle veut être l'amie de tout le monde, personne n'est assez digne de confiance pour elle. Si elle veut s'ouvrir et être vérité et honnêteté, elle se sent obligée de contrôler l'image qu'elle renvoie.Rapunzel est emplie de douceur mais, contient tant de violence incontrôlable que sans son appartenance à un conte, elle ne serait surement pas crédible. Rapunzel aspire à la liberté mais sera soumise aux ordres du Game Master.
Essayer de mettre des mots sur le caractère de Rapunzel est dur puisqu'elle ne se connaît pas elle-même. Lorsqu'on essaye de la décrire au bout de quelques phrases, on s'embrouille soi-même. Parce que Rapunzel est, comme toute autre personne mais d'une manière plus extrême, un mélange d’un tas de caractères et personnalités différents à la fois.
Rapunzel est la fille pourrie gâtée qui n'a pas réussi à faire passer son caprice. Rapunzel est cette fille, tellement optimiste qu'elle est persuadée qu'avec la volonté nécessaire, tout but est atteignable. Rapunzel est cette personne détruite qui a tué la seule personne qu'elle connaissait et qui lui avait offert de l'amour. Rapunzel est cette fille qui méprise tout ce qui n'est pas conforme à son monde idéal constitué de personnes avec des intentions gentilles et bienveillantes. Rapunzel est tout simplement quelqu'un d'ignorant qui ne sait pas qu'il est ignorant. Rapunzel peut changer de caractère d'une seconde à l'autre sans réelle raison, juste parce que, voilà. Rapunzel est ce genre de personne qui offre sa confiance facilement mais qui n'offre qu'une partie superficielle de celle-ci et qui n'hésitera pas à s'enfuir tout aussi facilement. Rapunzel est quelqu'un qui bouge dans tous les sens, donnant l'impression constante d'avoir bu trop de café. Elle ne se pose qu'une fois chez elle, toute seule.
Elle est constamment stressée et perturbée mais fait des efforts parce qu'elle veut devenir cette personne bienveillante qui fait le bien autour d'elle. C'est pourquoi, elle intériorise souvent ce stress qui ressort, parfois, d'une manière soudaine en faisant ressortir la personne haineuse enfouie en elle, depuis son crime. Cet aspect-là d'elle, est paranoïaque et méfiant et fait souvent disparaître toute la confiance qu'elle a rapidement crée envers la pauvre personne qui a fait ressortir cet aspect haï de Rapunzel. Elle s'efforce d'aimer tout ce qu'elle peut aimer et évite ce qu'elle n'arrive pas à aimer alors, lorsque sa haine ressort, elle ne s'en trouve que renforcée.
Cet aspect est tout simplement une conséquence du fait qu'elle a eu un passé dans lequel, elle a trop haït. Elle ne veut pas haïr et essaie de paraître banale en toute circonstance. Parce que les gens banals sont appréciés. Ils sont appréciés sans être aimés et c'est exactement ce que Rapunzel recherche. Elle ne veut pas de vrais amis, elle veut juste aimer tout le monde et être appréciée en retour. Lorsqu'on s'attache trop aux gens, on finit blessé et on finit par haïr. Et Rapunzel a peur de haïr, parce qu'elle a peur de retomber dans la folie. Elle veut rester lucide et les sentiments trop forts tels que la haine ou l'amour en trop grande quantité suppriment toute rationalité dans les actions des humains sous influence de leurs sentiments. La lucidité l'empêchera de faire du mal autour d'elle, elle en est persuadée. Et puis, elle a déjà fait trop de mal de son vivant, alors elle espère se racheter pendant sa seconde vie ; aux yeux de qui ? Elle n'en sait rien, elle ne croit même pas en Dieu. Sa mère, peut-être.
Aux yeux des autres, elle paraîtra sûrement calme, malgré son agitation intérieure, légèrement simplette, malgré ses calculs précis afin de renvoyer cette image précise aux gens autour d'elle, et surtout souriante et bienveillante. Mais cette image ne sera renvoyée que si ses calculs sont corrects. Parce qu'elle est persuadée qu'au fond, tous les humains se ressemblent et qu'on peut manipuler leur avis très simplement. D'une certaine façon, elle est n'est pas vraiment bienveillante, puisque cette bienveillance ne sera, la plupart du temps, seulement présente dans son propre intérêt parce qu'elle veut aimer les gens et oublier cette haine qui la dévorait jadis. Elle est tellement perturbée qu'essayer de décrire sa façon de penser est perturbant en soit. Rapunzel est tellement persuadée qu'elle contrôle tout qu'elle ne se rend pas compte qu'elle est complètement perdue, elle-même. Elle est juste quelqu'un qui essaye de se trouver elle-même, et de ce fait, au fond, elle est semblable à tout le monde.
Rapunzel est juste quelqu'un qui demande à être découvert et à se découvrir elle-même.

Rapunzel
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(Mer 9 Juil - 0:54)
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Je suis sincèrement désolée pour ce petit retard. ~
Fiche validée. ♥


J'ai trouvé ta fiche très jolie. Je ne sais pas comment expliquer, mais c'est les images qu'elle donne, qu'elle nous fait imaginer. La mort de ton personnage était belle. Enfin, non, mais je ne sais même pas comment expliquer ça en fait. C'était très intéressant à lire. Et je suis très curieuse de voir ton personnage évoluer !
J'avoue qu'avoir l'histoire au début m'avait un peu déstabilisé, mais c'est vrai que c'est un bon choix de "format". En ayant lu l'histoire, on associe directement certains traits de caractères aux événements passé. Fin, c'est vraiment pas bête.
Désolé, je n'ai pas grand chose de très constructif à dire à part que j'ai beaucoup aimé ta fiche, ton personnage. Et que j'ai trouvé le tout très beau. Fin, si malgré tout tu veux un avis détaillé, n'hésite pas à me le demander, je te le ferai. ♥
Amuse toi bien parmi nous, bon RP, et bienvenu chez les rouges. ♪
Narcisse
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