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| | | Invité | |  | Oeuvre originale de Eiri
Deadly Sins Nom : Richard Prénom : Vanille Pseudo : Sugar Âge : 19 ans Date de mort : 25/12/1875 – 15 ans Péché capital : Gourmandise
| My power
Pour une personne gourmande comme moi, n'est ce pas merveilleux de pouvoir faire apparaître de la nourriture ? Certes, je préfère faire apparaître des sucreries que d'autres sortes de plats mais ce n'est pas pour autant que je ne peux pas en faire apparaître aussi. Ayant parfois crever la faim durant ma vie, je vous avoue que pouvoir manger ce que je veux quand je le veux est quelque chose que je chéris énormément ! J'ai aussi la capacité de transformer les objets ou les personnes en nourriture. Même si j'évite de le faire, n'essayez pas de me pousser à bout !
I AM...
Surnom : Loli
Découverte du forum : Grâce au partenariat avec Happy End !
Un avis sur le forum : C'est WOAW !
Premier mot qui te vient à l'esprit : Esprit (tête vide vide vide)
Si je te dis awesome : Je réponds poussin
Un mot pour la fin : Contente d'avoir enfin tout écrit (à nouveau;) )
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Physique
Le jour de ma mort, j'avais eu peur de ne jamais grandir et de garder ma petite taille. J'ai eu la chance de continuer ma croissance encore quatre années. J'ai donc atteint la taille de.... 1m60 (roulement de tambour). Bon d'accord, je n'ai pas beaucoup grandi depuis... Sinon, pour quelqu'un dont le pêcher capital est la gourmandise, j'avoue avoir la chance d'être mince et de ne jamais prendre un gramme.
Mes parents (enfin ma mère) m'a donné le nom de Vanille à la naissance à cause de mes cheveux blonds. Pour être plus précise, ils se trouvait être d'une couleur entre blond et blanc. En ce qui concerne mon visage, j'ai ce qu'on appelle un visage de poupée. Apparemment je ressemblerai à une poupée de porcelaine, peau blanche et joues roses. J'ai des yeux couleur argent, de quoi captiver les regards des personnes à qui j'adresse la parole. Le reste de mes traits sont fins et je ne me trouve pas spécialement jolie, vous connaissez les complexes féminins je pense.
J'ai compris que ressembler à une poupée ne rendait pas toujours service, c'est même rarement le cas, alors évidemment, j'ai appris à me méfier.
J'ai gardé un souvenir de mon passé sous mon oeil gauche : une marque en forme de goute. Vous me demanderez pourquoi je garde cela alors que je pourrai l'enlever simplement. Ce souvenir du Wood Circus me rappelle la personne que j'ai aimé et que j'aime toujours.
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Caractère
Étant une Deadly Sin, je ne peux pas me permettre d'être une guimauve ambulante ! Donc, quand il s'agit de mon travail, je deviens vite froide et j'exécute les ordres. Je peux également devenir un vrai monstre quand on a osé m'ennuyer. Par contre, je sais quand il vaut mieux se taire et jusqu'où on peut se battre et où il faut s'arrêter. Je l'ai compris avec mon père et avec mes ravisseurs. Je savais quand je devais arrêter de défendre le fait que je n'avais rien fait avant qu'il ne me frappe.
Par contre je deviens douce comme un dessert quand je tiens à vous! Je ferai tout pour vous aider quelques soient les conditions et les conséquences. Je serai également généreuse envers vous.
Je ne suis pas facilement triste et même si il n'y a que peu de sujets qui me touchent, je suis dévastée lorsque quelque chose me fait du mal. Mais personne ne le voit car je préfère ne pas montrer ma tristesse aux autres.
Comme je l'ai déjà dit auparavant, mon pêcher capital est la gourmandise donc mon passe-temps préféré est manger. Et pour être plus précise, j'aime bien manger ! Et de fait, j'adore cuisiner aussi. Même si cela ne m'est d'aucune utilité vu mon l'utilité de mon pouvoir. Mais cela m'occupe bien donc je continue à le faire.
Bizarrement, c'est une partie de moi que j'ai plus développé lors de ma mort que durant mes quinze années de vie.
Je préfère les aliments sucrés et particulièrement les desserts.
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Histoire
Le 25 décembre 1860, tous les journaux attendaient devant l'hôpital où je suis née. En effet, ma naissance était très attendue par toute l'Angleterre... En fait non, pas ma naissance mais celle de l'héritier des Richard. Quelle déception pour mon géniteur de voir que l'enfant tant attendu était une fille et non le fils qu'il attendait tant. En effet, après le mariage de mes parents, ma mère n'a pas su avoir d'enfant pendant près de cinq ans. Au moment où tout espoir était perdu, elle tomba enceinte... de moi. C'était un « miracle » qu'elle puisse enfin enfanter. Mon père étant fils unique, il fallait absolument qu'il ait un fils pour que la lignée ne se perde pas. Évidemment, un malheur n'arrive jamais seul, le seul enfant que ma mère mis au monde fut moi, une petite fille. Oui, après ma naissance et jusqu'à sa mort, ma mère n'a pas su me faire de petit frère.
Même si mon père et tout le reste de ma famille me haïssait et niait mon existence (du moins officieusement), ma mère et les domestiques m'aimaient bien. Ma mère me répétais toujours que j'étais un miracle et qu'il ne fallait pas que je l'oublie. Officiellement, c'était ce discours que toute ma famille tenait. En effet, avoir une mauvaise image des Richard était inadmissible. Ma mère me protégea tant qu'elle étaient en vie...
Mais elle mourut l'année de mes dix ans, en 1870, et mon cauchemar commença. Mon père ne faisait même plus l'effort de s'occuper de moi et il avait interdit aux domestiques de le faire également. Il passait parfois des jours voir une semaine complète sans que je mange quoi que ce soit. Heureusement, il y avait toujours un ou une domestique qui venait m'apporter à manger quand mon père n'était pas là.
Quand ce sale type était là, dès que quelque chose le contrariait, il me frappait et quand me frapper ne lui suffisait pas, il me faisait dormir dehors (en hiver) ou dans la cave (en été). Ce calvaire dura deux ans.
Puis, tout bascula. Quand mon père était invité à un bal, je me devais de le suivre pour faire « bonne impression », cacher les bleus qu'il me faisait à longueur de journée et faire comme si ma vie était parfaite. Il jouait au père modèle et je jouait à la fille prodige.
Je me souviens que c'était un soir de printemps, il faisait doux mais une légère brise était présente. La soirée était à son apogée quand on m'enleva. Je n'ai pas su me débattre car il m'avait droguée au préalable.
Quand je me réveillai, j'étais dans une cave avec deux hommes. Ils disaient qu'ils espéraient pouvoir avoir une grosse rançon. Je riais intérieurement et imaginait plutôt bien la scène. Mon père recevant la demande et qu'il la jette tout simplement ! Il devait leur être reconnaissant de l'avoir débarrasser du boulet que j'étais pour lui. Il avait d'office jouer les petites victimes en pleurant sur le sort de sa fille mais je suis sûre (encore aujourd'hui) qu'il était bien content de ne plus m'avoir dans ses pieds. Une semaine passa sans réponse, puis une seconde et un troisième. Évidemment, pour ne pas changer des bonnes habitudes, dès qu'ils étaient contrariés par les non-réponses de mon père ou qu'ils s'engueulaient, je recevais des coups. Je me disais qu'au moins, j'étais nourrie chaque jour !
Après un mois, ils me demandèrent très sérieusement pourquoi mon père ne répondait pas à leur demande. Je leur dis sincèrement que tout simplement, il ne m'aimait pas et devait les remercier intérieurement de m'avoir enlevée. À mon avis, ma réponse ne leur avait pas plu car il me tabassèrent jusqu'à ce que je perde connaissance.
Je le réveillai dans une petite ruelle sombre. J'avais mal, j'avais faim et j'avais soif. Je regardai autour de moi et je compris que je ne devais pas être loin d'une rue principale de Londres. Je voulu aller jusqu'à cette rue mais je n'avais pas la force de me traîner jusque là... Alors j'attendis je ne sais combien de temps que la mort ne vienne. Mes journées étaient coupées entre moments de lucidité et coma.
Vous connaissez la sensation d'être moins qu'un animal ? Le gens qui me voyaient me regardait d'un air triste mais passaient leur chemin. Ou alors ils faisaient semblant de ne pas me voir et accéléraient le pas.
Je ne sais pas combien de temps je restai là, peut-être une semaine, peut-être pas... Je n'allais pas tenir indéfiniment alors j'attendais que ma vie s'envole.
Un jour, un homme me vit, il avait quelque chose d'attirant, il était grand et fin. Il s'engagea dans la ruelle et se dirigea vers quelque chose qui devait se trouver derrière moi... Mais, pourquoi s'arrêta-t-il à mes côtés ? Il s'accroupit et je pu voir son visage. Il avait des cheveux plutôt longs pour un homme (hauteur des épaules), roux et en pagaille. Des yeux verts émeraude et des traits fin. En somme, un très bel homme. Je le sentis me prendre dans ses bras avant de sombrer à nouveau dans les ténèbres.
Je me réveillai et je ne reconnu pas l'endroit où je me trouvais. J'observai la petite pièce, on aurait dit une sorte de « chambre mobile », une roulotte quoi... Je me sentais bien mieux, la faim et la soif avait disparue (du moins presque). Je m'assis sur le lit où je me trouvais et je me demandai ce qui avait bien pu se passer et où je me trouvais. J'eu à peine le temps de commencer à réfléchir que quelqu'un ouvrit la porte de la roulotte. Ce quelqu'un c'était le beau jeune homme qui m'avait approchée dans la rue.
« -Oh mon dieu ! Enfin t'es réveillée ! Tu m'as fait peur toi !
-Heu... où suis-je ?
-... Oh pardon, j'ai pas fait les présentation ! Honte à moi ! Je m'appelle Jack, mais tout le monde ici m'appelle Smile ! Et nous sommes au Wood Circus ! Je t'ai récupérée dans la rue mais t'étais dans un sale état ! Alors maintenant que tu vas mieux, tu peux choisir de partir ou de rester avec nous ! »
Il m'avait annoncé cela en souriant. Et quel sourire ! Je vous avoue que c'est à ce moment-là que mon coeur craqua pour lui... même si je ne m'en rendais pas encore compte ! Je ne savais pas trop quoi répondre mais si je ne restais pas dans ce cirque, j'allais denouveau me retrouver à la rue. Alors je lui demandai si il était possible de rester à leur côtés. Il avait l'air heureux de ma décision. Il m'expliqua que je vivrai avec lui jusqu'à ce que je n'en veuille plus.
Il me présenta à toute la troupe, je rencontrai Anna et Annie, les soeurs jumelles ; James, l'homme serpent (surnommé Snake) ; Annabelle, l'équilibriste chouchoutte du patron ; Edgar Wood, le big boss ; ...
Je commençai ma vie là en nourrissant et en nettoyant les cages et les animaux. Smile était le « maître de scène », le Monsieur Loyal quoi. Il comptait parmi les artistes et ceux-ci comptaient des privilèges énormes. En effet, dans les moments de crise : on nourrissait les artistes et les animaux en premier. Ils avaient également droit à un petit salaire pour pouvoir se faire une ou deux folies. Ce que les personnes comme moi ne pouvaient en aucun cas avoir ! Mais allez savoir pourquoi, Smile prenait soin de moi, il me donnait à manger quand j'en avais pas, il m'aidait dès qu'il avait du temps et il me laissait dormir avec lui. Il remarqua très vite que j'avais un très bon équilibre alors il commença à m'entraîner pour que je puisse devenir artiste funambule.
Pendant deux ans je m'entraînais dur et au fur et à mesure, Monsieur Wood voyait que je progressais bien vite. Il me donna une place dans la troupe des artistes, je n'avais pas remarqué à l'époque que cela dérangeait Annabelle. Je ne compris que trop tard que je lui faisais de l'ombre.
Six autres mois passèrent quand je pris la place de celle-ci. J'étais la star du spectacle d'équilibre !
Le jour de ma mort fut le jour de mon anniversaire : le 25 décembre 1875. Smile était venu me chercher dans notre roulotte tout content. Il me prit les mains et me dit qu'on allait en ville pour Noël. En deux minutes nous étions habillés pour le froid hivernal et on quitta le Wood Circus. Nous marchions main dans la main, habitude que nous avions pris depuis notre rencontre pour combattre le froid. Je lui demandai plusieurs fois où nous allions mais il ne cessait de me répéter « C'est une surprise Vanille ».
Quand nous arrivâmes à destination et je fus émerveillée : Smile m'avait emmenée à la fête foraine. Je lui sautai dessus en le remerciant mille et une fois ! La soirée se passa merveilleusement bien, nous étions passés dans toutes les attractions existantes et on mangea du pop-corn.
Quand on eut tout fait, on se dirigea vers le parc et on s'installa sur un banc en dessous d'un réverbère. Le silence s'était installé entre nous. Puis il me regarda et me sorti un petit paquet emballé dans du papier blanc et avec un ruban doré (je sais que c'est stupide de se souvenir de détails aussi insignifiants mais je ne peux pas enlever ces moments de ma mémoire et je ne le veux pas). Je le regardai dans les yeux, surprise et lui demandai pourquoi me donnait-il cela. Il me sourit et me dit simplement que c'était mon anniversaire et qu'il n'avait pas pu m'offrir quoi que ce soit les autres années. Il me demanda d'ouvrir la boîte, ce que je fis et je vis une petite chaîne en argent avec une bague à la place du pendentif.
Je fondis en larme de bonheur et le pris dans mes bras. Sans m'en rendre compte, je l'avais embrassé. Il se recula et me dévisagea, je reculai également avant de courir pour m'éloigner de lui. Il lui fallu quelques secondes avant de me suivre. Mais je courrai de plus en plus vite et je bousculai quelqu'un. Je m'arrêtai pour aider cette personne qui n'était autre qu'Annabelle.
Elle me regarda avec un air assassin. Elle me cria ensuite dessus. Elle m'accusait d'avoir gâcher sa vie, que je n'étais qu'une truie qu'on remplacerait d'ici un mois ou deux. Elle m'insulta avant de sortir un couteau et de me le planter quatre fois dans l'abdomen. Elle partit et je m'effondrai au sol.
Smile arriva en panique et s'accroupit pour me prendre dans ses bras. Il pleurait encore et encore en me disant que je ne pouvais pas lui faire le même coup que lors de notre rencontre, que je devais vivre. Je lui demandai de me laisser parler deux secondes, il se tut. Je le remerciai pour ces presque trois années passées ensemble, je lui expliquai que je n'avais jamais été heureuse avant de le rencontrer. Je lui dis que je ne m'en sortirai pas cette fois-ci et je lui avouai que je l'aimais depuis bien longtemps maintenant. Il m'embrassa et me dit qu'il aurait dû me dire plus tôt ses sentiments. Puis il m'embrassa encore et encore jusqu'à ce que les ténèbres m'engloutissent.
Je me réveillai dans un endroit inconnu. Je pensai avoir échappé à la mort encore une fois mais je compris que ce n'était pas le cas quand je ne vis pas Smile à mes côtés. À la place je vis une femme, elle était grand, immense même. Il faut dire que vu ma petite taille, tout le monde était grand pour moi. Ce qui me choqua le plus était qu'elle n'avait pas visage humain, elle avait une tête de chat. Elle me regarda, m'aida à me relever et m'expliqua la situation : j'étais morte. Bon, ça, je m'en doutais déjà. Elle m'expliqua ce qu'était new-life et me dit qu'elle voulait qu'elle voulait que je sois à son service. Je lui demandai quel avantage avais-je à devenir une Deadly Sin alors que j'allais devoir renoncer à la chance de retrouver Smile. Elle répliqua que Smile ne croira jamais que j'étais revenue à la vie, de toutes façons je l'avais perdu. Mais également que les Sins pouvait être vu par les humains, même si ils devaient éviter les contact avec ceux-ci. C'est cet argument qui me fit accepter.
« J'accepte votre offre ! »
Sur ces mots, ma nouvelle vie commença.
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| | Invité | | | Narcisse | | | | Fiche validée. ♥ Alors, alors, j'ai envie que tu fasses connaissance avec mon tc lorsque j'aurai fini sa fiche, car j'suis sûre qu'on pourrait avoir un lien assez intéressant. +w+ Sinon, faudrait qu'on parle du travail de ta persotte, est-ce qu'elle va en avoir un, ou non, ou tu penses? Enfin, c'est pas urgent mais c'est quelque chose que j'aimerai savoir. ♪ (vu que c'est une Deadly Sin). Elle a eu une vie plutôt remplie, c'est assez intéressant à lire. ~ Je t'avoue que j'ai été assez surpris de ne pas voir de viol. Je l'attendais, je le voyais venir, persuadé qu'elle finirait par se faire violer après avoir lu ton physique, encore plus après l'enlèvement( on a parlé de drogue. ;w; /) Et non. Et je t'avoue que c'est une assez bonne surprise. owo J'aime bien ne pas réussir à prévoir. ♪ Bon, s'il y a un bien truc qui m'a fait bêtement sourire; c'est que ce père qui devait en avoir rien à foutre de Vanille; j'ai eu comme l'impression que sa vie entière était basée sur "comment faire chier le plus possible ma fille". Car quand même, pour se dire "tiens, en été ça lui ferait trop du bien de dormir dehors; allez, dans la cave!", c'est qu'il y réfléchissait un minimum, il en envisageait les choses. Elle a d'ailleurs eu la chance de tomber sur un assez gentil cirque quand même, ils n'y étaient pas trop mal traités, elle a eu de la chance. ~ La fin était plutôt mignonne, j'ai bien aimé. *aime les cadres de fête foraine, touça* Y a p't'être un truc qui m'a dérangé par contre. - Citation :
- l pleurait encore et encore en me disant que je ne pouvais pas lui faire le même coup que lors de notre rencontre, que je devais vivre.
Mais justement, durant leur rencontre, elle est pas morte ! owo Ne pas faire le même coup sous entendrait qu'elle devrait mourir et non s'en sortir. ;w; / D'ailleurs, il est un peu idiot. Comment il veut que sans aucun soin et juste en te faisant du bouche à bouche -ok blague toute conne-, elle s'en sorte. Elle se vide de son sang mec ! ;w; Oui, j'étais à fond. ♪ Bref, bienvenue parmi nous -nous les violets-, bon RP et amuse toi bien. ♥ Désolé, ça a dû te paraître très brouillon comme remarques, mais je suis un peu fatigué. ;w; (bac français ce matin, se lever tôt...). |
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| | Narcisse | |
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