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Перо || Poupée russe
(Lun 6 Jan - 21:37)
bal





Suiguintou - ROZEN MAIDEN

Wonderland
Pseudo : Перо (plume)
Âge : Elle n'en a pas réellement. On lui donne une bonne vingtaine.
Date de mort : 5 février
Péché capital : Luxure
Métier : Artiste. Elle joue du piano (et chante parfois aussi) à The Cat. Elle participe aussi à des spectacles de "soir" de new-life, et il lui arrive à faire quelques spectacles au cabaret. Très polyvalente au niveau du travail en fait.

My power


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I AM...

Surnom : Narçou.
Découverte du forum : Par moi même.
Un avis sur le forum ://
Premier mot qui te vient à l'esprit : Manger.
Si je te dis awesome : Ahahahah.
Un mot pour la fin : Honte à moi, je suis une vilaine chose, je n'ai pas su résiste à la tentation, pardonnez moi. D:
Physique

Elle dit se foutre de ce que les gens pensent d'elle. Elle dit ne pas être intéressée par l'amour que les gens peuvent lui porter. Chaque compliment semble la faire rougir comme si c'était le premier qu'on lui adressait. Pourtant, ses yeux crient "aimez moi", ses lèvres disent "embrassez-moi" et son corps murmure "désirez moi".

A vrai dire, ses yeux ne font pas que demander à être désirés. Ils content ses pensées, ils parlent pour elle, ce sont des traîtres, ils la mettent à nu dès qu'ils le peuvent. Et l'occasion n'est pas rare, bien au contraire. Mais c'est cette vie qu'elle a au fond de l'oeil qui prouve que désormais elle est en vie. D'une couleur peu naturelle, qu'est le violet, tendant un peu vers le rose, ils ont tendance à attirer le regard d'autrui. Le léger maquillage qu'elle porte ne fait qu'accentuer son regard et les mettre en valeur. Enfin, ils ne sont pas les seuls à attirer l'oeil.

Ses lèvres un peu roses, souvent recouvertes de rouge à lèvre de toutes teintes allant du rose au rouge, sont faites pour porter un sourire. Un sourire superficiel qu'elle se voit obligée de porter. Il n'y a pas un seul moment où elle ne sourit pas lorsqu'on la regarde. Parce que c'est plus attractif, parce que c'est son devoir. Elle n'est qu'apparence jusqu'au bout.

Le dos droit et le pas sûr. Un pied après l'autre, suivant la trace d'une ligne droite imaginaire. La tête droite et relevée, elle regarde devant elle. Un corps aux mensurations parfaites, calquées sur ce qu'on prétend être l'archétype de la femme parfaite qu'on ne peut atteindre et qui a fait sombrer plus d'une dans des atrocités sans nom. Plutôt grande, de belles et longues jambes, sans oublier sa taille de guêpe et son beau bonnet qui est censé donner envie, se situant entre C et D. A tout cela s'ajoute une peau plutôt pâle qui semblerait n'avoir jamais vu le soleil.

Une garde robe qu'on croirait sans fin. Des tenues de toutes sortes qui sont seulement là pour la mettre en valeur. De jolies robes, de jolies jupes, quelques shorts, et un ou deux pantalons. Des chemises, des hauts mignons, des hauts beaux, et des hauts très plongeants. On peut y retrouver n'importe quoi. Elle pourrait se changer à l'infini, et il lui faudrait plus d'une vie pour tout porter. Enfin, sa vie sans fin suffit.
Caractère

Sourire, être ouverte. Être gentille, aimable, polie. Ne jamais jurer. Parler pas trop fort, juste assez pour qu'on entende. Etre douce, bien se conduire. Être féminine. Être charmante. Plume n'est qu'une femme objet qui n'est là que pour plaire et rien d'autre. Un comportement qui change et qui s'adapte selon la personne, mais qui garde toujours ses traits principaux. Des traits qui font de Plume ce qu'elle est devant les gens, et aux yeux des gens.

Elle n'a ni amis, ni copains, personne. Elle vie une vie parfaitement solitaire. Elle a seulement des connaissances avec qui elle passe le stricte minimum de temps. Le temps de boire un verre, de vous faire deux ou trois sourires, mais pas assez pour se dévoiler. Juste de quoi faire pour que vous vous mettiez à l'apprécier. Allez savoir si cette distance qu'elle prend vis à vis des autres est là surtout parce qu'elle ne fait pas confiance aux gens, ou bien parce que la seule chose qui la motive et l'anime est l'envie d'être désirée et appréciée.

Ses métiers reflètent beaucoup sa seule motivation qui est être désirée, ils peuvent aussi laisser certains indices sur sa vraie personne. Que ce soit les spectacles du "soir" de new-life ou encore ses prestations dans le cabaret où elle travaille, ce sont tous des métiers qu'elle a choisi pour se mettre en valeur, pour mettre son corps en valeur. Et pourtant, outre que de profiter de son physique pour charmer et jouer avec le spectateur, elle exécute ses chorégraphies avec une certaine grâce et élégance propres à elle seulement. A travers ses danses et ses pas, ou encore ses morceaux de piano, elle transmet certaines de ses émotions sans même s'en rendre compte.

Des émotions qu'elle pense ne pas pouvoir exprimer, qui la dépassent très souvent.

Histoire

Tous les contes commencent par "il était une fois", et se finissent par "ils furent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Un prince y apparaît, peut-être même une princesse, et ils finissent toujours par faire des gosses.

Il était une fois une jeune et jolie princesse qui était amoureuse d'un beau prince d'une contrée voisine. Celui-ci semblait être lui aussi intéressé par celle-ci. En même temps, aucun homme ne pouvait résister aux charmes de la princesse. Mais quelque chose semblait la séparer des autres. Cette même chose qui empêchait son union avec l'être qu'elle aimait. Un beau jour, elle rencontra une sorcière qui lui proposa de passer un marché avec elle. La jeune princesse aurait tout donné pour briser cette bannière qui les séparait, et des choses à donner, elle en avait. Elle était riche, une femme de pouvoir...  Mais, contre toute attente, ce fût sa beauté qui fut le prix à payer pour être avec le prince de ses rêves. Il suffit que la sorcière tape du pied trois fois par terre pour que toute sa beauté et son charme s'envolent. Mais au moins, la bannière qui séparait les deux amants qui étaient destinés à se rencontrer, se brisa.
Sans perdre de temps, la jeune femme alla rendre visite à son prince le soir même. Au début, il ne la reconnut pas, et voulut la virer du château. Et puis, en apprenant son identité, il lui demanda de rester, et de lui conter son histoire. La jeune femme ne perdit pas une seconde, le jeune homme quant à lui n'en perdit pas une miette. Il finit par en tomber amoureux, ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants.


Quelque chose de comme ça, en somme. Des choses d'un ennuie profond, avec une fin prévisible. Eh oui, on sait tous que ça finira bien : même morte, et décapitée, elle finira par revenir à la vie en un seul morceau par la seule force du pouvoir de l'amour. Une chose puissante qui permet de surmonter n'importe quel obstacle, mais également une arme à double tranchant qui, si on s'en sert mal, peut vous faire sombrer dans le gouffre le plus profond.

Перо était la princesse de toutes les petites filles. A leurs yeux, elle était la perfection; elles l'adoraient pour sa beauté et ses belles tenues, sa douceur et son beau sourire toujours présent sur ses lèves. Elle avait voyagé dans le monde entier, et avait fait beaucoup de rencontres. Puis, un jour, tout cela cessa. Elle décida de se poser, et ne fit plus un seul voyage. En fait, on peut dire qu'elle avait rencontré la personne idéale qui était prête à la garder à ses côtés durant longtemps, voire toute sa vie. C'était un jeune homme qui lui fit la promesse de ne jamais l’abandonner. Elle, qui ne put jamais rester bien longtemps avec ses anciens maîtres, ne put qu’accepter.

De ce jeune homme, elle en tomba vite amoureuse.  Ou alors, peut-être que ce fut le coup de foudre. Avant même qu’elle ne s’en rende compte, ses yeux ne regardaient plus que lui. Il avait tout ce dont elle rêvait : le charme, la douceur... C’était l’homme parfait.
Mais voilà, elle savait que leur relation était impossible. Une barrière infranchissable les séparait, et elle savait qu'aucun miracle dans ce monde ne pourrait changer les choses. Alors, elle préféra laisser les choses comme elles étaient, et vivre heureuse aux côtés de son prince, silencieuse, et en taisant ses sentiments. Ce ne fut pas une chose facile, elle ne le cacherait à personne; le voir ramener des jeunes femmes dans leur habitat lui pinçait le coeur, pour ne pas dire que ça le lui détruisait complètement. Elle devait faire avec, elle n'avait ni les forces, ni l'envie, ni le droit de contester, ou même de dire quoi que ce soit à ce sujet. Après tout, à ses yeux, et même pour lui, elle n'était rien. Pas même une amie. Elle n’était qu'un simple décor.

Pourtant, elle était la plus belle et la mieux habillée. Elle était la plus douce, et la moins dérangeante. Elle se pliait à toutes ses envies, et ne savait pas lui refuser les choses. Elle ne parlait peut-être pas, mais pouvait, d'un simple regard, lui transmettre toutes ses pensées...

Des années passèrent sans que leur situation ne change. Перо était enchaînée à un quotidien répétitif qu'elle ne pouvait modifier. Tous les jours elle se voyait obligée d'attendre dans le salon que son bien aimé vienne la coiffer et lui apporte de nouveaux habits. C'était quelque chose qu'elle aimait bien au début, avant de se rendre compte que ce n'était pas un acte de favoritisme. Il le faisait à toutes les autres aussi. Elle aurait pourtant tellement aimé qu'il ne prenne soin que d'elle. Qu'il ne voie qu'elle. Qu'il ne soit qu'à elle.  Il l’avait déjà elle, alors pourquoi avait-il besoin des autres ?  Elle était arrivée en premier, il lui avait juré de rester avec elle à jamais en premier, elle était là avant toutes les autres. Il n’avait pas le droit d’aller voir ailleurs, il n’avait pas le droit de regarder ailleurs. Son regard, tout son être devait lui appartenir. Son toucher n'était qu'à elle seule. Il n’avait pas le droit de remarquer les autres. Elle était là, et cela devait être suffisant pour lui. Elle était la plus belle, la plus ancienne. Il n’avait aucunement le droit de détourner le regard d’elle. Oh que non.

C’était dur de respirer. Plus les jours passaient, plus la jalousie l’étouffait. C’était horrible. Invivable.  Les mains de cette vieille sorcière sur son cou se resserraient un petit peu plus chaque minute, chaque seconde qui passait. Un jour, elle le savait, elle finirait par la tuer. Pourtant, son visage restait de marbre, alors qu’elle se sentait de moins en moins bien. Tout au fond d’elle, elle était torturée. Elle devenait de plus en plus obsédée par sa présence, par tout l’amour qu’il pourrait lui apportait. Elle le désirait. Elle voulait qu'il ne lui appartienne qu'à elle, qu'il vire toutes les autres, qu'il s'en débarrasse ! Elle était certaine que c’était la seule solution pour se débarrasser de cette vieille sorcière. Elle avait été bien naïve de croire qu’il lui suffirait de rester à ses côtés pour vivre heureuse. Beaucoup trop naïve. Elle voulait pleurer, elle voulait crier. Si seulement elle pouvait… Elle avait beau essayer, pas un seul bruit ne sortait de sa bouche. Elle voulait se faire remarquer, se démarquer, par n’importe quel moyen. Elle voulait ses lèvres. Elle voulait non seulement son cœur, mais aussi son corps. Elle voulait sentir sa peau contre la sienne. Elle voulait qu’il la prenne dans ses bras, qu’il l’enlace, qu’il l’embrasse, et qu’il l’aime. Mais c’était impossible, à cause de cette barrière qui les séparait. Parce que tant qu’elle était là, son prince ne la voyait pas. Sauf que rêver ne lui suffisait plus.

Mais n’aurait-elle pas dû profiter de ce quotidien paisible, plutôt que de se laisser tuer par la vieille sorcière ? N’aurait-elle pas dû lui faire un sacrifice, et profiter de ces jours heureux auprès de son prince ?

Malgré sa rencontre avec la vieille sorcière, la jeune fille réussit à rester naïve et ignorante. Et même si elle se mentait tous les jours, elle ignorait l’existence du mensonge. Et oui, l’homme, et plus précisément son prince, n’était pas aussi beau et pur qu’elle ne pouvait l’imaginer. A vrai dire, à force d’être aussi naïve et rester autant cloitrée chez elle, ce n’était pas étonnant qu’elle ignore tout du monde. Surtout de son côté cruel. A chaque fois, elle savait que ses maîtres l’abandonneraient à son triste sort, et la jetteraient à la rue. Ou alors, la donneraient à quelqu’un d’autre. C’était la première fois que quelqu’un lui disait qu’il resterait avec elle pour toujours. Et pas une seconde, elle ne se douta que c’était un mensonge… La vilaine sorcière avait beau la prévenir, lui dire qu'un beau jour viendra où il se débarrasserait d'elle parce qu'il en préférait une autre, Plume lui tournait le dos et l'ignorait. Un peu de volonté lui suffisait pour ne plus l'entendre.

Un beau jour vint où ce quotidien cessa. Son beau prince trouva une princesse et se maria. Au début la sorcière se moqua d'elle. Elle ricana jour et nuit, et dès qu'elle pouvait, elle lui faisait comprendre qu'elle avait raison, qu'il fallait l'écouter. Vint le moment où le jeune prince dût alors se débarrasser de toutes celles qui occupaient sa maison, et elle ne fut pas épargnée. La sorcière arrêta alors de rire. Plume fut jetée dans la rue, et y passa le reste de son existence. Elle aurait tant aimé crier, se battre. Elle aurait tant aimé avoir son cœur. Son corps. Son âme. Lui tout entier. Elle aurait tout donné pour être à la place de cette princesse à deux sous. Elle était mieux qu’elle, beaucoup mieux !  Seulement elle pouvait combler le prince, elle en était persuadée. De plus, son prince n’aurait jamais pu lui mentir. Jamais. Elle gardait espoir. Elle était persuadée qu’elle lui manquerait, et qu’il viendrait la chercher.  Qu’il abandonnerait cette bonne à rien qu’il avait épousée. La vieille magicienne était encore là, elle. Et elle l'étouffait toujours autant.

Plume attendait jour et nuit sans bouger, mais son prince ne venait pas. Même la vieille sorcière finit par se lasser de la situation, et s’en alla, la laissant seule. Elle aurait au moins pu finir son travail, et l’étouffer pour de bon. Désormais, elle attendait juste que quelqu'un ait pitié d'elle et la ramasse. Elle n’avait plus de maison, plus de belles tenues... Elle n’avait plus rien. En lui offrant une nouvelle vie et de nouveaux sentiments, son prince l’avait privée de tout le reste. Son seul souhait était  de pouvoir de nouveau voyager et faire rêver les petites filles. Elle voulait revoir leur joie et leur sourire. Mais personne ne venait, et plus les jours passaient, plus sa robe se salissait et son état devenait abominable. Elle regrettait tellement ses actes… Et puis un jour, elle finit par disparaître totalement.

« Tu avais pourtant dit qu'on resterait toujours ensemble....»

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