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(Dim 22 Sep - 17:15)
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HATSUNE MIKU - VOCALOID

DARK WOODS CIRCUS
Nom : Van Dolore
Prénom : Évangéline
Pseudo : Opium
Âge : Vingt-trois ans d'apparence, cela fait tellement longtemps qu'il fait noir.
Date de mort : 28 / 12 - 13 ans
Péché capital : Luxure


My power


Dragged you down below. Down to the devils show. To be his guest forever. Peace of mind is less than never.  Maintenant, vos cauchemars prennent vie. Seul l'illusion est réelle, la souffrance est la seule vérité. Je prends possession de vos esprits, je m'en amuse, je vois dans vos yeux aussi bien que dans les miens. Et c'est ainsi que vous plongez dans un abysse aux teintes monochromes.

I AM...

Surnom : Wizz✝️Skull
Découverte du forum : De partenariat en partenariat, ect.
Un avis sur le forum : J'ai flashé immédiatement sur le forum. le portail donne tout de suite envie, et plus on se lance dans la découverte du forum plus l'envie de s'y inscrire est grande. Le contexte est original et recherché. Je vous conseille juste de faire attention aux petites erreurs qui traînent dans les textes parfois. Very Happy 
Premier mot qui te vient à l'esprit : Curse.
Si je te dis awesome : Je réponds Poussin.
Un mot pour la fin : Go to hell, for the heaven sake.
Physique

TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE

Caractère

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Histoire


J'ai vécu d'illusions et de paroles en l'air. De souffrances et de malheurs. De peurs et de tristesses. On m'a fait comprendre que face au monde je n’étais rien. Juste, un simple chien empestant la pitié à des kilomètres. Un être miteux ne méritant que la misère. Je suis seule, et je le serais toujours. Partout où je vais il fait noir, le blanc, la lumière n'a plus sa place dans mon existence. Les ténèbres m'enivrent, m’aspirent parmi les fous. L'enfer, je le connais, il est ici ! J'y ai goutté, je m'en suis délectée jusqu'à plus soif. Et encore aujourd’hui j'y baigne. Il n'y a pas de mots assez forts pour vous exprimer ma haine. L'homme, n'est qu'une bête, une bête sauvage aux dents de sabre près à vous utiliser comme bon lui semble. Mais le temps passe et les choses changent, il y a meilleur que vous, plus attractif, alors on se lasse. On passe à autre chose, on oublie. Oublier . Non ce serait trop beau. On ne peut ignorer les monstres...



Welcome to darkness.†.


Les cloches de l’église sonnent, la foule sort pour s'égarer dans l'ombre d'une ruelle. Seul une enfant, bien pâle, d'un teint plutôt maladif, suit le cortège. 

La tête baissée, elle avance. 
Les yeux en larmes, elle avance. 
Les mains jointent, elle avance. 
Le cœur brisé, elle avance.

Le cortège arrive au cimetière, sans chahut, seule la symphonie macabre des vautours est présente. On évoque une dernière prière, on fait un dernier signe de croix, et les fossoyeurs emportent les cercueils pour les faire sombrer dans l'oubli. En cette période de l’année il fait bien froid, un mois de décembre désagréablement neigeux. D'habitude les gosses s'amusent tout en jouant parmi les flocons, alors pourquoi ce petit être toujours maussade ne part pas loin, loin de tout ce malheur... Il le voudrait, oh oui il voudrait s'évader dans un paradis noir. Mais il ne le peut, il est enchaîné à cette terre, à ce sol solide qui le retient de ses racines.
Le monde s’évade laissant place au silence. C'est la fin. De tout, de rien … La fin du commencement. Le commencement de la fin. Mais qu'est-ce-que la fin ? Qu'est-ce-que le commencement ? Quand on né puis qu'on meurt ? Non ! La vie est juste le commencement, le commencement de la débauche, de la souffrance, du désarroi, de la tristesse, de la peur. Mais la fin ne peut être précise, certain prétende la connaître, d'autres l'ignorent, et le reste quant à eux, ils ne se posent pas la question.  Ah, l'ignorance, que c'est beau quand on ne sait rien, quand on reste niait devant autrui. C'est la pureté, la douceur. L’ignorance. Marcher sans se poser de questions, la tête ailleurs. Dans les nuages peut-être ? Les cieux sont si beaux en ce temps, quand les teintes grises apparaissent et que la brise accompagne le mouvement frénétique des branches. Le vent qui vous chatouille les joues, et le froid qui vous empoigne. Plus de chaleur, plus de douceur, simplement l'envie de s'écrouler sur le sol et de voir le monde tourner autour de soi.
La fille Van Dolore reste blême, elle attend. Elle ne sait où aller, elle ne sait que faire. Une personne dont elle ne se souvient déjà plus le nom est venu la voir il y a peu. Une personne haute placé selon les citoyens. Mais la jeune fille n'en a que faire, bien évidemment. On lui a tout simplement dit « Quelqu'un viendra s'occuper de toi ». Que de paroles inutiles. On le sait qu'on va l'entretenir, mais qui ? Mais où ? Pourquoi ? Et comment ? La famille de notre demoiselle possède une certaine renommée. Ce nom aux origines italiennes n'échappe à aucun passant. Ils ne font pas dans les draps, ou dans la broderie. Sont-ils riches ? Cela est d'une telle évidence qu'on s'en mordrait les lèvres. Monsieur est héritier de nombreux domaines, un noble me dirait vous, cela est bien ce qu'on dit de lui. Mais si nous nous attardions sur la face sombre . L'opium, cela vous parle . L'homme à la prestance de fer, en connaît l'odeur depuis quelques années maintenant. Il participe au trafic, important ainsi la marchandise depuis la chine. Et madame ? Il n'y a rien à en tirer. Quoi qu'il en soit, tout cela se prête au passé, oui, étant donné que nos protagonistes ont trouvé le repos dans une boîte faite des matériaux les plus coûteux.  
L'enfant n'est pas seule, on la guette. Un homme vêtu de noir, et d'un chapeau melon se terre dans l'obscurité. On ne distingue que très peu son visage, il est abîmé par le temps, lassé de la vie et sans doute blasé.  Il observe la scène impassible, d'un regard profond. Et-il là par hasard ? Son attitude reste suspecte mais personne ne le remarque, il règne comme une ombre dans les abysse du songe. Soudain une main se pose sur l'épaule de notre bambin, une main froide, sans doute trop. L'homme noir se recule vivement, comme satisfait. L’énergumène aux membres en chaires se penche vers la fillette, d'un air sérieux.

-  Van Dolore Evangéline, je vous  présente toutes mes condoléances, mais vous savez  il ne faut pas verser de larmes. Non, il ne faut pas, car il n'y a rien de mieux que la mort... 

Sur ces mots plus que douteux la gamine relève les yeux. Elle est effrayée, elle ose tout juste respirer. Sa peine est déjà assez grande pourquoi la faire s'élargir...  Les blessures font mal, tellement mal.
Evangéline, oui c'est comme cela qu'elle se nomme, cela nous rappelle quelque peu le mot « ange ». Elle doit ce nom à sa mère, Corinna, une femme très catholique, une bonne dévote comme on les aime. Le père n'était pas un homme simple, trop pris par les affaires pour s'occuper de sa jeune fille. C'est à l'âge de 4 ans que s'est effectuée leur première rencontre. Ils ont donc passé un bon nombre d'années ensemble, cependant ils ne s'aimaient pas. 
Aimer ? Pour eux ce n'était qu'une obligation, tout comme se marier, vivre ensemble et fonder une famille. Tout cela n'était qu'illusion, une bien belle illusion. Ils montraient ce que les gens avaient envie de voir, rien de plus. Devant leur tendre Evangéline à moitié désiré, ils restaient froids, distants. Même si à l'heure actuelle la petite déverse des flots, elle ne connaît pas la tendresse, et qui sait si un jour elle aura la chance d'en faire l'expérience ...
Evangéline finit par prendre la main de son interlocuteur.  Ce froid, ce froid qui vous glace, ce froid qui vous laisse de marbre. Le regard vide elle se retourne, fessant face à l’inconnu. 

- C'est faux... Il n'y a rien de bon à mourir. On fait du mal aux autres, alors à quoi bon ? 

- Vous comprendrez plus tard, oui vous comprendrez... En attendant je vous demande de me suivre, on m'a chargé de vous garder quelque temps. 

De la garder quelque temps ? Juste histoire de trouver un autre larbin pour lui donner le pain. C'est ainsi qu'ont fait avec les orphelins. Lorsqu'ils sont gueux et qu'ils n'ont pas d’étirage on les envoie à l’orphelinat. Les plus riches sont placés sous la responsabilité d'une personne bien choisie. Bien choisi, c'est assez vite dit. Ce n'est que de la paperasse inutile, dont tout le monde se fiche. Mais il ne faut pas croire, les bourgeois et les nobles se battent pour obtenir la garde de ces gosses. Tout d’abord, c'est une bonne manière de se faire bien voir, et puis si en grandissant ils reçoivent une partie de l'héritage, c'est encore mieux. La cupidité les perdra...


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I don't want the world to see me.†.



Voilà maintenant 2 ans qu'Evangéline vit avec le comte Quinn, et sa femme. L'enfant grandit à un rythme normal, comme toutes les jeunes filles de son âge. Cependant elle n'est pas aussi ouverte que les autres, non elle se renferme sur elle-même, au point de ne parler à personne. Certains diront qu'elle est timide, d'autres diront qu'elle est dérangée mais personne ne cherchera à comprendre, c'est bien plus simple de ce dire que cela passera avec le temps. Mais c'est faux, tout ne fera qu'empirer. Elle sait très bien que les Quinn, ne sont pas ses vrais parents, malgré tout l'amour que madame lui apporte. Cette dernière se nomme Élisabeth, une femme splendide, et d'une gentillesse incomparable. Malheureusement, elle est stérile, c'est pourquoi elle traite Evangéline comme si elle était son propre enfant. Comme si elle était la chair de sa chair. Comme si leurs cœurs avaient battu à l’unisson pendant de longs mois. C'est elle, qui a pris la décision d'adopter la petite, ne pouvant plus accepter davantage la tristesse de sa femme le comte lui accorda cette faveur. Mais pour lui Evangéline n'est rien d'autre qu'une orpheline recueillit, elle ne fera jamais partie de sa famille. Bien sûr il ne le montre pas, il fait en sorte qu'on dise de lui que c'est un bon père.
Evangéline est peu commune, elle reste seule, les gens, le monde lui font peur. Chaque jour elle se place devant la plus grande fenêtre du manoir, et elle attend. Elle ne fait que regarder le paysage, les arbres, les fleurs, la nature l’inspire. Et dans cette position, elle pourrait rester des heures. C'est que lorsqu'elle entend quelqu'un approcher, qu'elle disparaît. Non pas comme une voleuse, elle entreprend simplement une marche lente vers un nouveau lieu. Mais pas aujourd'hui, isolée près de la cheminée elle a les yeux rivés vers l'inconnu. Élisabeth, se pose sur le fauteuil face à celui de sa fille, l'air songeuse. Elle observe ses longs cheveux, se déversant telle une cascade sur ses épaules à demi nue. Ses épais cils font ressortir la couleur intense et désirée de son regard. Parfois, ses lèvres roses s'ouvrent, puis se referment. Sa respiration n'est pas régulière, quelque chose la dérange au plus profond d'elle, mais elle ignore quoi. Ce manoir ? Cette atmosphère ou encore la solitude. Les domestiques ont peur de l'enfant, ils n'osent pas la lorgner que ce soit de près ou de loin. Pour eux, elle communique avec Satan, et non avec l'homme. Des tas de propos tous plus absurdes les uns que les autres rôdent dans la demeure.

- Evangéline ?

-Oui mère ? Dit-elle d'une voix monotone. 

-Que fais-tu ? 

-Rien, mère. 

-Mon enfant, quelque chose ne va pas ? Tu es si pale. Tu restes ici, toute la journée à ne rien faire. Je suis inquiète pour toi.

-Excusez-moi... Je ne veux pas être la raison de votre peine.

-Tu es la raison de mon bonheur. 


Elle la saisit, d'un geste lent, la plaçant dans ses bras. À genoux sur le sol, des perles salées se rependent sur son visage. Cette chose si fragile qu'elle tient, elle la chérit plus que tout. Elle, pose ses petites mains froides sur les joues de ce qui est pour elle, un ange, le plus doux des anges. 

-Mère, ne pleurez pas. Dois-je sourire pour voir le vôtre ?

-Tu ne dois sourire que lorsque tu le veux. Que lorsque tu ressens la joie.  Evangéline, est tu heureuse ici ? 

-Je ne sais pas... C'est quoi être heureux ? Vous savez je me sens mal, je repense à mère et père mort, enfermer dans cette boîte. Où sont-ils partis ? Pourquoi m'ont-ils abandonné ? Ils ne m'aimaient pas... Mais quand j'aperçois la forêt, une passion me prend, et j'oublie tout. C'est si bon de regarder le ciel blanc, l'aire insouciante. 

-Bien ! Que faites-vous ?! Ma chère retournée à vos occupations, et vous Evangéline votre leçon de piano vous attend ! Intervient le comte de sa voix de stentor.

Le piano, et toutes les instructions possibles qu'on lui inculque, tout cela n’intéresse pas la fillette. Mais elle est obligée de suivre tous les enseignements qu'on lui impose, sans broncher. Le comte lui répète que sans cela elle ne deviendra pas une demoiselle digne de ce nom. Encore un mensonge destiné à éloigner l'enfant et sa femme. Pour lui, Evangéline et Élisabeth sont trop proches, cette relation mère-fille l'insupporte. Il sait qu'un jour la petite deviendra grande, de ce fait elle voudra vivre sa vie en dehors du manoir.  Sa femme étant une grande émotive, elle ne supportera pas de voir partir son unique bambin. C'est donc pour le bonheur futur de sa bien-aimée qu'il souhaite voir Evangéline loin, très loin. Lorsqu'elle est arrivée elle était âgée de 7 ans, et pourtant elle était déjà dotée d'une lucidité imposante. Et encore aujourd'hui, elle ne cesse de voir la réalité telle qu'elle est, cette réalité si dur à affronter. Cette réalité qui lui montre, qu'au fond, le bonheur n'est qu'une illusion si facile à effacer...


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Dernière édition par Opium le Ven 27 Sep - 21:04, édité 8 fois
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(Dim 22 Sep - 17:41)
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Welcome !
T'as rien écrit mais ta fiche me fait déjà flipper ! J'ai hâte de la lire ! o/
( non j'suis pas maso' )

Bonne chance, sinon !
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(Dim 22 Sep - 18:26)
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Bienvenue.
Si tu as des questions ou autres, n'hésite pas. ~
Oui c'est vrai qu'il y a quelques petites fautes qui traînent par ci par là, mais j'essaye de les corriger au fur et à mesure. cute
Bonne chance pour finir ta fiche. o/
Narcisse
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(Dim 22 Sep - 18:53)
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Merci à vous deux. ♥️


ESPERANZA, je vois pas en quoi elle peut déjà te faire peur, mais c'est plutôt amusant. Wink 
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» Fiches
Time Out

Bonsoir,
C'est un très joli début de fiche, donc ça me désole un peu d'être amenée à demander ça, mais ta fiche est-elle toujours d'actualité? Cela va faire largement plus d'un mois qu'elle a été postée, et malheureusement, je n'ai plus de nouvelles de celle-ci depuis.
J'aimerai avoir une nouvelle, un petit up dans les 7 jours qui suivent (jusqu'au 20 novembre donc), sinon je serai forcée de la déplacer dans le cimetière. Si tu veux toujours la reprendre, n'hésite pas à mettre le titre en bleu.

(Tu pourras bien sûr la récupérer du cimetière en m'envoyant un petit MP. ♥)

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