Stanislav ▲ Quand la haine ne fait plus qu'un avec ton esprit.

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Vriska Serket

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Nom : Inconnu
Prénom : Wendy
Pseudo : Stanislav
Âge : 18 ans
Date de mort : Le 5 aôut (18 ans)
Péché capital : Luxure
Métier : Escort Girl

My power

« Marionnettiste.
C'est vachement amusant, vous savez. Quand je m'ennuie, je m'amuse à chercher ma proie pour la faire danser comme une marionnette. Je n'ai qu'a bouger mes doigts et celle-ci se met à faire les gestes que je lui demande de faire. C'est moi qui contrôle son corps, et non son cerveau. Haha, qu'est-ce-que j'aime ça.

I AM...

Surnom : Huum... Appelle moi Princesse, comme tous le monde.
Découverte du forum : Partenariat ?
Un avis sur le forum : Pas mal, pas mal .w.
Premier mot qui te vient à l'esprit : Graaw ~ (Oui, c'est un mot.)
Si je te dis awesome : [Narnar]Gud. ♥
Un mot pour la fin : Hakuna Matata !

Physique

Petite sur patte diriez-vous ? Pour ses 18 ans, c'est vrai qu'elle n'est pas très grand avec son 162 cm. Mais ce qui est petit est mignon, n'est-ce-pas ? Elle a un joli visage un peu ovale et son menton est comme qui dirait ... Pointu. Son teint est -maintenant- grisé. Elle a de magnifique -et long- cheveux aussi noirs que du charbon. Au soleil, ils ont presque des reflets bleus. Ses yeux sont justement bleus foncés -ils s'éclaircissent au soleil- en amande. Elle porte des lunettes pour lire et un bandeau pour cacher son oeil gauche du à un accident, étant plus jeune (a voir dans l'histoire). Parlons de son corps maintenant. Il n'y a rien à redire, à par quelques cicatrice par-ci par-là à cause de son enfance mais elles ne sont plus si voyante qu'avant. Niveau poitrine, elle en a une très jolie pour son âge. Elle peu très vite rendre d'autres demoiselles jalouse, d'ailleurs. Niveau vêtement, elle porte souvent des vêtements moulant pour le travail. Sinon, elle préfère rester discrète. Limite elle porte des fringues de mecs pour être sûr que l'on ne la reconnait pas. Pour le maquillage, c'est le stricte minimum. Mascara noir et rouge à lèvre bleu et c'est tout. On peut croire que, du à son boulot, c'est une fille plutôt extravagante alors qu'en fait pas du tout.

Caractère

Stanislav a toujours été le chien de service. Celle qui se faisait taper à la place des autres. Certains pensaient même qu'elle était masochiste. Alors qu'en fait, elle se sentait bien trop faible pour se débattre. C'est le genre de fille studieuse qui reste dans son coin, livre à la main. Pendant ses 18 ans, elle n'a jamais été à aucune fête. Elle était un peu l'intello de service qui devait aider les autres. Et en retour ? Rien. Enfin si, les personnes se montraient gentille avec elle une journée ou deux. Ensuite, c'était déjà fini. A l'orphelinat, ce n'était pas mieux. Elle ne sait pas pourquoi, mais tout le monde la haïssait. Même le personnel ne l'aimait pas. On l'appelait « la fille du diable » Stan' n'a jamais comprit pourquoi, vu qu'elle ne connait pas ses parents. Alors elle se faisait toujours punir par le personnel et taper par ses "camarades". Mais ce n'était pas simplement taper ... Ils étaient bien plus cruels que ça. Elle a souffert, vraiment. Et maintenant, elle aimerait se venger de son passé. Même qu'elle en souffre encore. Elle aimerait que la douleur s'arrête. Elle aimerait connaître ce que signifie « être heureux. »

Histoire

La vie est cruelle, n'est-ce-pas ? Tu te réveilles dans un endroit inconnu avec des gens qui ne t'aime point et te disent que tu devras rester là jusqu'à ce que des adultes voudront bien de toi. Mais sa foire à chaque fois. À chaque fois qu'un adultes vient te rendre visite, tes camarades vont faire exprès de le chasser pour que tu puisses souffrir encore. Tes camarades aiment te frapper, te dire que tu es moches, que personne ne voudra de toi. Et le personnel ? Rien, il ne fait rien. Il ne t'aime pas non plus, alors pourquoi t'aider ? Puis, quand tu es enfin libre, tu te fais poignarder par un vieil ami qui en fait t'a toujours détester. Oui, la vie est bien trop cruelle.

A LIRE AVANT TOUT ! :

Novembre 1995; Arrivé de Wendy.

Stanislav ▲ Quand la haine ne fait plus qu'un avec ton esprit. Large

« Comment allons-nous l'appeler ? Il n'y a même pas de lettre de ses parents. Elle vient juste d'être emmener ici, devant la porte, sans aucun indice. Je n'aime pas ses parents là. Et encore moins ces enfants sans la moindre identité. »

Dans le hall, les chauffages étaient tous allumés. Sans doute pour faire croire aux futurs parents que c'était un très bon orphelinat. Alors que plus on marchait dans le couloir, plus il faisait froid. Nous entrâmes dans un grand bureau. Je pris froid et me mit à pleurer. Ils n'avaient pas l'air content de m'entendre. Ils déposèrent le landau dans un coin de la salle en me mettant une poupée vraiment effrayante contre moi. Ils voulaient m'aider à dormir ? Bah c'est rater. D'ailleurs, je suis traumatisée par les poupées maintenant. C'est ce soir là, que j'eu un nom. Wendy.

Avril 2000; Que le cauchemar commence.

« Wendy ! Vilaine fille. Vient ici pour ta punition ! »

Encore ? Mais je n'ai rien fais. Je suis sagement assise sur une vielle table dans la salle de jeux en train de dessiner. Qu'est-ce-que je dessine ? Quelque chose d'assez sombre, comme d'habitude. Je me dessine moi en couleur et ensuite un homme et une femme, tout en noir. Ce sont mes parents. J'ai l'âge de comprendre maintenant. Alors j'aimerai comprendre pourquoi est-ce-que je suis ici. Et surtout, pourquoi est-ce-que je n'ai toujours pas de parents. Bien que pour ça, j'ai mes quelques petites idées. Ce sont souvent mes camarades qui foirent tout. Comment ? Et bien du genre, avant que les adultes viennent dans ma chambre, ils iront tous détruire en faisant croire que c'est moi. Ils colleront mes dessins sur les portes et dessinerait des choses effrayantes sur les murs avec du feutres rouges en leur faisant croire que c'est moi. (Souvent, ils me dessines avec un ciseau dans les mains et mes « parents » morts remplis de sang sur le sol.) J'ai souvent du aller voir un Psy, d'ailleurs. Mais depuis un certain temps, tout à empirer ... Je me promenais dans le couloir du hall quand j'ai entendu le personnel parlait de moi. « Plus aucune visite pour Wendy. De toute façon, elle est bien trop ... Spéciale pour trouver des parents. » J'eu les larmes aux yeux. Pourquoi moi ? Alors que je n'ai absolument rien fait ... Je suis retournée dans ma chambre et bien sûr, comme-ci la nouvelle n'avait pas suffit, les autres s'étaient encore amusés dans ma chambre. Ils avait ramené des poupées en porcelaine qu'ils avaient mutilés -si on peut dire ça comme ça- On lui avait casser la main, le pied, on avait colorier l'intérieur de ses yeux en rouge. On lui avait comme cousu les lèvres et ça voix (car oui, c'était une poupée qui parlait) avait totalement changer. Les plus âgés ont du trafiquer un truc pour lui donner une voix totalement effrayante. Alors comme toujours, je me suis mise à hurler et pleurer. Je n'avais que six ans ... Pourquoi me faire tout ces choses ? Et c'est là qu'un membre du personnel est arrivé, ceinture à la main. J'avais peur et je me suis mise en boule. Mais il était bien plus fort, ce qui est logique. Il m'a tiré par le bras jusqu'au douche où il m'a déshabiller pour me mettre sous une douche glacée. L'eau était si froide que cela en était presque douloureux. Mais la douleur est seulement venue quand celui-ci me donnait des coups de ceinture dans le dos. Ça me brûlait. J'en hurlais tellement j'avais mal. Je pense que cela à durer seulement 5 minutes, mais à mes yeux, cela avait durer des heures. Mais attention, la punition n'était pas fini. Il allait m'enfermer dans ma chambre jusqu'au lendemain, sans boire, ni manger, ni pouvoir aller aux toilettes. Or, il était 10h du matin.

Janvier 2004; De pire en pire

En plus d'être le chien de service à l'école, j'étais le souffre douleur du pensionnat. Mais maintenant, fini les blagues avec les poupées où les dessins sur les murs. Nous sommes bien trop grand. Maintenant, c'est carrément physiquement. Ils ont recopiés sur le personnel. Mais en pire. Le personnel avait ses limites, or les autres enfants n'en ont pas. Ils rentrèrent dans ma chambre en groupe pour venir me frapper, pour ensuite m'emmener dehors, dans la forêt -où normalement, aucun n'enfant n'a le droit d'y rentrer.- Ils m'attachèrent à un arbre en me bandant les yeux et la bouche. Souvent, ils coulèrent du sang autours de moi (le cuisinier remplissait toujours des bouteilles avec le sang des animaux qu'il tuait pour nous nourrir) afin d'attirer le plus possible d'animaux sauvage. Et un jour, cela à fonctionner. Résultat, un loup -sans doute- m'a arracher un bras. J'ai été durant plusieurs longue année sans bras gauche. Avant de me faire amputer pour une sorte de bras-robot. Oui ça oui, ça les amuser. Et maintenant, il y a aussi les petits surnom. J'ai eu « Garce, Salope. Pétasse. Grosse merde. Saleté, chienne, etc. » Au début, je l'avoue avoir été blesser, mais après, je me disais que c'était amical. Mais je supportais de moins en moins ce poids sur les épaules. Pourtant, les autres m'ont encore fait souffrir longtemps. Jusqu'au jour où j'ai pu partir de cet endroit. Le pire de tout, c'est que devant les « parents » et les plus jeunes que nous, ils ne faisaient rien. Ils m'ignoraient et c'était tout. Vers mes 14 ans, la première fois que j'ai été réglé, ils se sont foutus de moi en allant montrer la culotte tachetée aux autres en disant que j'étais une fille totalement dégueulasse et que de toute façon, cela ne sert à rien pour moi car de toute façon personne ne m'aime, etc.

Vers mes 16 ans, j'étais devenue un peu plus forte mentalement et je commençais à répondre en leur disant qu'ils pouvaient aller tous mourir. Peut-être que ce n'était pas la solution... Car à 16 ans, je me suis faite dépucelée alors que je n'étais pas consentante. Mais on ne peut pas vraiment appeler ça un viol, car aucun des garçons ont voulu me toucher ... Non, ce qu'ils ont fait ? Je vous explique. C'était pendant une nuit. Ils me bandèrent les yeux et la bouche (comme d'habitude) pour me mettre sur la table de billard. Il m'attachèrent les mains et les pieds aux pieds de la table et il m'arrachèrent la culottes. J'ai pris peur et j'ai essayer de me débattre mais ils me frappèrent à chaque fois que je bougeais. Alors je n'ai plus rien fait et j'ai souffert en silence, comme toujours. Ils m'ont rentrer plusieurs objets, telle qu'une brosse à cheveux, des stylos, de petites bouteilles en plastique. Ensuite il y a eu des fruits genre bananes et légume genre concombre. J'étais horrifiée. Je voulais que tout cela se finissait et vite. Je ne ressentais qu'une chose, de la douleur. Ensuite, ils m'assommèrent. Quand je me suis réveillée, j'étais dans ma chambre. J'étais dans ma robe de nuit, sans culotte. Il y avait un petit mot sur mon bureau. Cela disait;

« Si tu dis quoi-que ce soit à quelqu'un, on te tue, Salope ! »

Je n'ai rien dis. Je suis restée dans ma chambre pendant trois jours, en sortant juste pour aller manger ou pour aller aux toilettes. Depuis que j'étais là, j'avais un seul et unique ami. Enfin, une sorte d'ami. Seul, il se montrait gentil alors qu'en groupe, il me faisait souffrir comme les autres. Mais pourtant, je l'aimait bien. C'est le seul que j'ai vraiment aimer. Un certain Andrew. Il s'est fait adopter à 8 ans par la famille O'Connor. Depuis, plus rien. Je ne sais même pas si il est vivant ou mort.

Mai 2013; Enfin libre.

Stanislav ▲ Quand la haine ne fait plus qu'un avec ton esprit. 2980147158_8b9100c168_z_large

Enfin 18 ans. Enfin libre. Je prends mes valises et je m'en vais. Au revoir tout le monde. Au revoir cauchemar. Bonjour, nouvelle vie. Depuis un an, j'économise pour pouvoir me louer un studio, le temps que je trouve un boulot. D'ailleurs, j'ai déjà trouver le métier parfait. Un métier où tu es payée pour te faire passer par la femme d'une personne. J'ai vraiment besoin de me faire aimer pour quelques heures, mais si c'est faux ... Au moins, je pourrais enfin embrasser -faussement- des hommes. Oui, nouvelle vie, nouvelle moi.

Voilà. Voilà comment c'est passé la veille de ma mort;

Téléphone qui sonne. Une voix rauque dans l'autre bout du fil. L'homme devait avoir une vingtaine d'année. Rendez-vous dans le resto le plus chic de la ville. Les invités seront là à 18h. Il doit essayer d'avoir une augmentation à son boulot alors il a inviter son patron ainsi que sa femme. Bien, je serai-là. 17h30, je suis déjà là. Pour pouvoir en apprendre plus sur mon « marie » de la soirée. Il me fait porter une bague sur la main droite et m'explique comment je dois me comporter. Il ne m'a toujours pas dis comment il s'appelle et les invités sont déjà-là. Tant pis, je lui donnerai des surnoms mignon. La soirée se passe bien. Son patron ne remarque rien. Jusqu'à ce que j'appris qu'en fait, mon faux mari était en fait ... Un acteur de film X et que son augmentation qu'il voulait était en fait pour pouvoir jouer avec des stars déjà très connus. J'ai cru que j'allais m'étouffer avec mon verre d'eau. C'est alors que son parton accepta, mais que d'abord, il devait faire un film avec « sa femme », moi donc. J'étais choquée, je n'étais pas d'accord, mais il me dit à l'oreille qu'il me payerait doublement. Bien sûr, je ne voulais que l'argent, alors j'ai bêtement accepter. Je ne connaissais pas du tout mon client. Je savais juste que son nom était O'connor. Mais rien, aucun tilte dans ma tête. C'est après avoir filmer la scène dans le lit, que j'appris sa véritable identité. Son patron était parti avec sa femme alors que nous étions encore à l'hôtel. Il s'apprêtait à me payer quand il fit tomber sa carte d'identité ... O'connor ... Andrew ?! Mon seul ami de l'orphelinat ?! QUOI ?! Mon client avec qui je venais de faire l'amour était ce mec là ? J'étais choquée, j'ai reculé et je me suis cognée contre la table de nuit. Il se demandait quoi, quand je lui ai dis qui j'étais. Je ne vous dit pas comment il a réagis ... Il était en rage. Il aurait voulu que je lui dise automatiquement ma véritable identité. Or, j'avais un nom de scène, comme toutes les autres. Je n'étais pas cette Rose. Mais j'étais la Wendy de l'orphelinat. Celle qui a souffert pendant 18 ans. Mais il n'était pas content. Pas du tout ... Il a sortit un petit gun de sa malle et me la déposer sur la table. Il m'a fait faire la roulette Russe. Avant que je ne l'utilise, il m'a dit « Le destin te dira si tu as le droit d'encore vivre ou non. » Je pris le fusil, je le pointais contre mon crâne et je déposais mon doigt sur la gâchette.

3, 2, 1 ...

Noir. Le destin ne m'aimait pas. Voilà, j'étais morte. Je n'avais aucun regret. Après tout ce que j'ai vécu, je n'étais pas triste, j'étais même heureuse. Adieu ...

Crève:

< /td>

Bienvenue. ♥
Si tu as des questions ou autre, n'hésite pas à venir me voir. o/
Et bonne chance pour finir ton histoire.
- Oh god, tu m'as donné envie de lire des creepypastas -.
- Homestuck. ♥ -

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Bienvenue. ♥
& omg, je crois te connaître ... enfin, si tu es la même Stanislav de SK, hihi. (et vu l'avatar j'ai aucun doute, haha 8D)
& j'aime ton personnage, pour l'instant. ♥
& voilà./pan

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Bienvenue !
J'aime beaucoup ton perso, du moins ce qu'on en a vu x)

Bref, good luck pour ta fiche !

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... Creepypasta, c'est le bien. ♥

Funambule; Yes cey moi .w.

Merci à vous ♥♥

EN FAIT JE VOULAIS VOUS DIRE QUE J'AI FINI. HELL YEAH. *Danse de la joie*

Players;

Recenser son avatar; son métier; son pouvoir
Demander un habitat; un rang; un RP; une relation
Le guide du forum

Fiche validée. ♥

Comme les autres, j'aime bien ton perso'. J'ai hâte de le voir in rp. o/
Pauvre Wendy, elle en a bien connu des choses dans sa vie. :c
-j'regrette un peu les "etc" dans ta fiche, ça t'coupe en plein milieu d'un truc et te donne envie d'en voir la suite. ;w; -
Ow, ce

Enfin, vu que j'veux aller lire des creepypastas, j'fais vite, et j'cite rien.
- au pire j'édite plus tard. /runs. -

Bref, amuse toi bien avec les Players, bon Rp, touça. ~ Et j't'invite à visiter les p'tits liens utiles là haut.

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