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| | | Invité | |  eine hure huren ► lust is the perfect sin | Anarchy Panty - Panty and stocking with garterbelt
Deadly Dogs Nom : Munos Prénom : Aurélie Pseudo : Hure, ou autrement dit pute en allemands. Âge : a l'apparence d'une femme de vingt-trois ans mais a en réalité bien plus Date de mort : 09/12 + dix-sept ans Péché capital : La luxure ♥ Métier : Prostituée | My power
Hure est une femme. Hure peut être parfois bien plus. En effet, Hure n'est pas comme autrui. Hure a un pouvoir que seuls ceux de son niveau, de sa classe, possèdent. Hure peut grimper aux arbres. Hure peut sauter. Hure peut ronger certaines choses. Et Hure peut voler. Car le pouvoir de Hure, il est magnifique. Il lui permet de se transformer en écureuil volant. Et Hure en est fière, car ainsi, elle attire les yeux de tous sur son joli pelage roux. Hure aime qu'on la regarde, alors elle ne se prive pas de se faire voir sous cette forme comme sous celle que l'on nomme humaine.
I AM...
Surnom : M.N., ohoh
Découverte du forum : Je suis un dc, krr krr.
Un avis sur le forum : Toujours aussi beau et sexay, je l'aime toujours autant. ♥
Premier mot qui te vient à l'esprit : Canard.
Si je te dis awesome : [narnar]♥.
Un mot pour la fin : GROAR. J'ai toujours rêvé de jouer une pute. Et j'ai tellement hésité pour le groupe et son pouvoir (jor, prendre un truc du style tout le monde est attiré par elle ou même maitrise des hormones, des trucs comme ça. mais voilà, au pire, j'en acheterais un en second don 8D)
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Physique
Et quand tu passes dans la rue, les vivants comme les morts se retournent pour te voir. Tu sens ces regards parfois brûlants sur toi. Et dieu, que tu en es fière, Hure. Oui, dieu que tu te plaît à être regardée, Hure. Tu veux que chaque homme te voit sous toutes les coutures. Tu veux que chaque femme te voit comme tu es vraiment : supérieure et belle. Tu n'hésites pas à les rabaisser, rien que par un regard, pour être celle de toutes les envies. T'es qu'une pute, Hure. Tu l'as toujours été. Même ton pseudo t'insulte comme jamais. Même ton nom te faisait pitié. Autant te nommer Clara Morgan que Munos Aurélie. Mais dieu, que tu t'en fous. Tu es belle. Tu es enviée et on te désire. N'est-ce pas tout ce qui compte à tes yeux bleus, Hure ? N'est-ce pas tout ce que tu veux, Hure ? En effet, tu veux plus. Toujours plus. Et on te le donne bien souvent, ce plus. Les mains qui sont passées dans tes longs cheveux blonds durant l'acte ne se comptent plus, Hure. Ton talent de pute n'est plus à mettre en question, tu sais faire jouir avec ta langue et ta bouche si bien dessinée. Tu sais même faire semblent de jouir pour faire plaisir quand tu n'es pas comblée. Et dieu, Hure, même dieu te regarderait devant tant de beauté. Et dieu, Hure, rêve sûrement que tes fines mains de femmes se promènent sur son corps. Ah ! Il doit sans aucun doute rêver de te voir à nu, t'apprécier sous toutes les formes et tous les angles. Ah ! Hure, tu sais que tu n'as quasiment aucun défaut. En tout cas, physiquement, tu es parfaite. Tu es belle, tu es si bien faite, et tu ne te laisses pas engraisser comme un porc. Non, ton corps plaît tant, Hure, il ne sert à rien de le noyer dans des calories. Les hommes et parfois même les femmes te veulent pour un soir, et tu t'abandonnes dès lors à leurs caresses. Des fois, tu y gagnes, Hure. Des fois, on t'offre tant de choses, parfois, tu vis même des choses uniques. Mais jamais, Hure, tu n'offriras ton cœur en même temps que ton corps. Tu es la femme du monde. N'importe qui peut te passer dessus tant qu'il paie. Et ça, le monde le sait. À force, on ne te regarde plus en tant que femme, mais en tant qu'objet. Parce que, tu as tellement couché. Ton corps s'est si souvent arqué sous le plaisir des gestes. Mais ça, Hure, tu le sais. Oh, tu le sais Hure. Tu sais que tes courbes sont parfaitement faites pour ce genre de position. Tu sais que même dans une situation humiliante, tout passera, parce que tu es belle, Hure. Tu es l'un des fantasmes les plus répandu sur terre. Et tu n'es qu'une chienne, Hure. Dans tout les sens du terme. Et putain, Hure, que tu aimes ça. Quant on te regarde comme si tu n'étais qu'une fille qui se met à quatre pattes pour quelques billets. C'est ce que tu es. Tu aimes tellement ce que tu es devenue, Hure. Tu n'as aucune honte. Pourquoi avoir honte d'un tel corps ? Tout t'aime. Même les habits, car tout te va. Tout te rend belle. Oh, Hure, que le monde t'aime ainsi. Que le monde t'apprécie pour ta beauté et ta gestuelle si sensuelle. Et pourtant, Hure, il t'arrive de perdre ta beauté. Tu deviens rousse, puis tu rétrécies et te transformes. Te voilà écureuil, Hure. Et te voilà qui vole. Les gens aime te voir aussi. Ils sont stupéfaits. Les regards ne te quittent plus. Et tu le sais, Hure. Car même ainsi, tu attires les yeux sur toi. Tu es une star. Tu es faites pour être vu. Et tu ne t'en prives pas. Ah, Hure, tu n'as aucune limite. Ah, Hure, à se demander si tu as eu un jour une part d'humanité qui te fit avoir honte de ce que tu faisais.
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Caractère
Derrière ta beauté à faire rêver, tu n'es qu'une teigne, une allumeuse et même une salope, dans tout les sens du terme. Oh, tu n'as aucune honte à cela. Ton métier te plaît, il est jouissif, et c'est même le cas de le dire. Toi, Hure, tu es la femme aux sept pêchés. Le monde t'as créé pour que tu sois imparfaite, Hure, et cela te rend parfaite aux yeux des Hommes. Oh, Hure, nul ne remarque tes manigances élégantes quand tu fais un jolie sourire dans le seul but de charmer quelqu'un. Oh, Hure, nul ne se rend compte que tu prends un plaisir fou à te faire sauter par n'importe qui et n'importe où. Tu n'es qu'une pute, Hure. Tu es Hure. Ton pseudonyme montre si bien ta nature. Ton prénom le faisait aussi. Oh, Hure, chère Hure, si le monde te voyait comme il le devait, il ne serait sûrement pas à tes pieds.
Souviens-toi, Hure. Souviens-toi de ta mort. Memento Mori, Hure. Souviens-toi de cette douleur lancinante qui te fait tant de mal. Souviens-toi que l'homme t'as trahi la seule et unique fois où tu étais sincère. Et désormais, Hure, désormais, tu es une traînée. Fille de joie, prostituée. La luxure est ta mère, elle t'a faite pour plaire et attirer les regards sur ton beau visage et ton corps envoûtant. Tu es comme Esméralda, Hure, mais tu te fais payer par bien plus que trois hommes. On achète ton corps chaque soir, parfois même le jour. Oh, Hure, si tu savais comme ta peau est douce et fine. Si tu savais, Hure, comme les hommes aiment te traiter comme une chienne. Mais c'est ce que tu es, une chienne. Une Deadly Dogs. Tu ne le caches pas vraiment, car cette sensation de rabaissement te plaît, Hure, tu aimes être en dessous lors de l'acte, faire croire que tu es faible et pleurnicheuse pour ensuite mieux retourner la situation. Ah, les hommes te traitent comme un objets, mais c'est ce que tu es, Hure. Un objet mort, objet de tout les désirs, que hommes et femmes achètent pour consumer pendant le plus de temps possible. Rabaissée, voilà ce que tu es sans cesse, Hure. Et cette douce sensation t'enivre, à un tel point que tu en perds la raison et que tu te laisses aller dans les limbes du plaisirs.
Oh, Hure. Ton humanité, tu l'as broyé quand tu es passé sous tant de gens. Désormais, seul ton plaisir compte. De toute façon, tu ne peux plus mourir d'une maladie liée au sexe. Désormais, tu peux juste savourer ce sentiment si brûlant lorsque tu te fais pénétrer. Et tu aimes ça. Oh, Hure, que tu aimes ça. Cette sensation qui te déchire les entrailles. Et parfois, tu aimes la procurer. Parfois, tu aimes être la cause de ce sentiment ardant qui dévore la raison à travers les sensations. Une allumeuse, Hure, voilà ce que tu es vraiment. Tes atouts féminins, tu les mets en avant. Tu attires, tel les sirènes de l’Iliade. Et tu les fais se noyer à travers le plaisir. Une fille de joie, Hure. C'est ce que tu es et ce que tu seras toute ta mort désormais.
Parfois, Hure, on te prend pour une poupée de porcelaine ne possédant aucune personnalité. Pourtant, la tienne est belle, Hure. Elle est si belle qu'elle en est devenue perfide. Tu es si violente, si vulgaire. Ton langage cru fait parfois plaisir, mais d'autres fois fait fuir. Et tu n'y peux rien, hormis faire comme si tu étais gentille. Oh, Hure, tu aurais pu être une actrice, car tu sais tant faire semblant. Les fausses joies que tu montres, les faux sentiments que tu développes. Tu es une si bonne actrice, Hure, ça dieu ne peut le nier. Mais cela fait parti de ton métier, faire semblant. Oh, Hure, ton rôle dans la rue t'as rendu si forte mentalement. Tu es violente, parfois malsaine. Qui sait ce qui se passe dans ta tête ? Tu t'étonnes toi même, Hure. Tu étonnes même le ciel qui pleur la déchéance d'une de ces étoiles. Tu aurais put briller si haut, Hure, mais tu préfères éclairer les bas fonds de New-Life.com. Oh, Hure, si tu savais comme les étoiles elles-mêmes te désirent.
Tu envies le monde, Hure, et le monde t’envie. Oh, Hure, jolie Hure, comme tu aimerais avoir ce beau collier de diamant autour du cou. Oh, Hure, comme cet homme semble riche. Et si, toi, Hure, lui faisait croire au grand amour, alors il te l'offrirait, Hure, et tu pourrais dès lors repartir dans ta quête de joie éternelle. Oh, Hure, tu aimes tant utiliser autrui pour arriver à tes fins. Tu te trouves tellement supérieure, Hure, que tu n'as aucun regret dans tes actes. Est-ce l'orgueil qui te rend ainsi ? Ou juste la vérité que tu crois vraie ? Tu te fiches de la réponse à cette question, Hure, car l'importance et que tu obtiennes tout ce que tu veux. Et que ta colère est grande si tu n'obtiens pas l'objet de tes désirs, Hure, que tes mots deviennent coupant. Pourtant, tu sembles si douce, Hure. Ton visage paraît angélique, mais ta personnalité laisse entrevoir tout le contraire.
Oh, Hure, que tu hais le sport. Pourtant, on ne dirait pas. Pourtant, Hure, tu es habité par ce que l'homme nomme paresse. Et que tu manges, Hure, que tu manges. Seul l'effort que tu fais avec un autre corps permet de dépenser toutes ces calories. Et tu vois, Hure, tout ces pêchés que tu possèdes, ils se marient si bien avec toi. Et tu vois, Hure, tout ces pêchés, c'est ce que tu es. Avarice, Paresse, Gourmandise, Envie, Orgueil, Colère et Luxure. Le monde t'a créé pleine de défauts, et comme seule qualité, ton physique. Oh, tu pourrais en pleurer, Hure, mais tu es trop forte pour cela. Tu te contentes de cracher sur la vie, car désormais tu es morte et tu ne pourras plus jamais souffrir de ce que tu es.
Alors, Hure, tu te permets de boire et de fumer comme bon te semble. Oh, Hure, bientôt, tu te feras encore percer. Tu n’oublieras pas non plus, Hure, de te faire tatouer. Ton corps deviendra dès lors un pêché en lui-même. Mais tu sais, Hure, tu sais que les hommes aiment pouvoir mordre le métal sur les nombrils, qu'ils aiment lécher les marques sur tout ton corps. Alors, tu attireras encore l'attention, Hure. Peut-être même que tu seras encore plus demandée, Hure. Et tes amis te traiteront de tout les noms, Hure, car ils ne sont pas vraiment tes amis. Tu ne peux compter que sur toi-même, tu le sais. Ils disent vouloir ton bien, ils tentent de te remettre sur le droit chemin, mais tu t'en fous, Hure. Tu sais que tu ne revivras jamais, alors à quoi bon de tenter de changer ? Tu ne veux pas être différente, Hure, car tu l'assumes, le fait d'être une pute, et tu te dis que c'est ce qui fait tout ton charme.
Parce que Hure, cela veut dire Pute. Parce que Hure, c'est la façon dont on te nomme chaque jour, que tu sois au lit ou non. Alors, forcément, tu sais très bien où est ta place.
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Histoire
Aurélie Munos, voilà comment on te nommait avant, Hure. Aurélie Munos. Comme l'actrice pornographique. Oh, Hure, que tu as aimé l'humour de tes parents lorsque tu l'as appris, lorsque tu étais en vie. Pour leur faire plaisir, tu as couché. Ce jour-là, tu avais treize ans. Un mec de dix-sept ans que tu venais de rencontrer, voilà qui t'enleva ta virginité, Hure. Un inconnu. Un allemands, bien sûr, car tu étais toi aussi allemande, Hure, née de la partie supérieure, tu faisais partie de la douce race aryenne. Oh, sir Hitler aurait été si fier de voir que la reproduction de sa jeunesse commence si tôt/ Ou aurait-il été si déçu ? Tu t'en fichais, Hure, tu n'aimais pas le Führer. Parce qu'il était brun et petit, il n'était en rien le modèle de la race suprême qu'il prétendait vouloir instaurer. Mais tu t'en fichais, Hure, car de toute façon, avec la guerre qui faisait rage, tu savais très bien, Hure, qu'il mourra un jour. Il est mort, l'Hitler de ton peuple. Et toi aussi, d'ailleurs.
Aurélie Munos, se nom ne te favorisa pas la vie. Aurélie Munos, Hure, voilà la raison du pourquoi tu commenças à te prostituer à seize ans. Le reste de ta vie, avant, c'était de la merde. Tu le sais, Hure, déjà tu vivais comme une chienne. Une famille pauvre, deux frères plus jeunes. Deux petits cons, comme tu dis si bien. Chaque Mardi, tu sortais les poubelles, Hure. C'était tout ce qui se passait dans ton existence. Pourtant, tu étais belle, mais la pauvreté ne t'aidait pas à le montrer. Dès le jour où tu changeas de vie, Aurélie devient jolie. Et Aurélie eut de plus en plus de client. Oh, que tu étais fière, en tant que Aurélie, Hure. Oh, que la joie de pouvoir gagner encore plus d'argent par ta beauté te faisait grimper aux rideaux. Tes parents t'ont pourtant renier, tout comme tes frères. Et dieu, que tu t'en fichais. Le Führer lui-même aurait pu te renier de la patrie que tu en aurais ris. Jaloux, voilà ce qu'ils étaient, Hure. Tous, ils étaient jaloux de toi et de ta beauté qui faisait chavirer les cœurs. Surtout son cœur, à lui.
Oh, Hure, Aurélie l'aima tellement. Pendant des jours, des mois, elle ne vit que lui. Oh, Hure, Aurélie lui était fidèle, Aurélie l'aimait. Et toi, Hure, tu le hais tant désormais. Il faut dire qu'il t'a trompé, trahi. Oui, Hure, ce mec était un enfoiré. Il a abusé de toi, te vola et parti comme un lâche. Mais il ne partit pas sans te laisses une trace qui te laisse de marbre. Un petit cachet qui fond dans ton verre. Le dernier cadeau qu'il te fit, ainsi que le dernier sourire que tu vit de lui. Oui, Hure, cet homme drogua Aurélie, la laissant à moitié morte car ton pauvre corps ne supportait pas l'effet de ce soi-disant médicament. Oh, Hure, tu aurais pu mourir ce soir-là, mais les médecins arrivèrent à temps, prévenu par une de tes voisines. Hélas, Hure, à cette époque, nul ne voulait signer le moindre papier te concernant. Pas même celui pour te sauver la vie. Alors, on te laisse dans un coma qui se voulait faux, Hure. On laissa Aurélie s'endormir, jusqu'au jour où elle ouvrit un œil. Ce fut sa dernière larme, Hure, ta dernière larme. Le cœur d'Aurélie craqua : une crise cardiaque.
aurélie qui pleur ;
aurélie qui souffre ;
jolie aurélie crispée ;
tendre aurélie abandonnée ;
aurélie qui se meurt ;
hure qui se souvient.
encore et toujours. jolie aurélie pense que c'est la fin.
encore et toujours. jolie hure arrive lors de l'entracte.
et danse les étoiles, pleur le ciel.
Et te voici, Hure. Tu vis désormais à New-Life, Hure. Tu travailles pour trouver les traîtres, Hure, et tu restes une pute. Tu es une vile créature qui n'est autre qu'un chien-chien du Game Master. Oh, on t'aime ainsi, Hure, mais peut-être est-ce parce que tu n'ébruites pas la partie des deadlys dogs à ton sujet, Hure. Et depuis tout ce temps, Hure, ce qui est merveilleux, c'est que tu n'as jamais voulu revivre. Tu es bien ici, Hure, c'est ta maison, ton chez toi. Tu peux te taper les vivants comme les morts, car un coup du soir n'est pas vraiment une relation.
Oh, Hure, tu oublis ce détail qui te fait rire. Le régime de Hitler tomba le jour de ta mort. Oui, Hure, cette façon de voir les choses alla dans ta tombe, à croire que tu étais l'humaine parfaite, même aux yeux d'une simple politique. Mais voilà, Hure, ce qui est fait est fait.
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| | Invité | | | Narcisse | | eine hure huren ► lust is the perfect sin | | Fiche validée. ♥ Moi, je l'aime bien ta fiche. Elle m'a fait sourire par moments, et m'a fait voir des mots louches là où il n'y en avait pas. Du coup, ça m'a encore plus fait sourire. Il se pourrait que j'ai fait une petite overdose de "Hure", il y en a tellement. Mais après, ça donne un petit quelque chose à ta fiche, donc ça passe. ♥ J'ai déjà commenté sur la bobox, et j'ai certes d'autres petits commentaires à faire sur quelques petites phrases et quelques conneries qui me viennent en tête quand je les lis, mais j'ai la flemme. Alors... Je le ferai un autre jour. ♥ Bref. Bienvenue chez les chiens. J'te réinvite à faire le tour des petits liens utiles. Bon RP avec Hure, Hure, et amuse toi bien parmi nous. ~ |
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| | Narcisse | |
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