Un écrivain qui n'est pas libre, est-ce un écrivain ? || Hellios
(Jeu 29 Aoû - 13:40)
bal
OC - Andrahilde
DEADLY DOGS
Nom : Mens Prénom : Gary Pseudo : Hellios Âge : Vingt-neuf ans Date de mort : 28|12|2011; 27 ans Péché capital : Orgueil Métier: Ecrivain
Baguette magique
Métamorphose animale. Oh évidemment, quand vous entendez ça vous vous dites que c'est surement magnifique, exceptionnel, merveilleux d'avoir un tel pouvoir, n'est-ce pas ? Tout faux. Oh, évidemment il pourrait être extraordinaire, je pourrais me transformer en lion fou et faire fuir n'importe qui. Loupé. Je ne suis pas non plus une perfide araignée qui pourrait se faufiler n'importe où et empoisonner quelqu'un. Non. Et ce n'était pas non plus le genre d'animal charismatique qu'on pouvait utiliser pour draguer. Quand je me transformais, je n'avais plus rien de viril, plus rien d’impressionnant, plus rien de sérieux. Quand je me transformais les moues de colères se transformaient en visages pantois d'admiration. Les voix des femmes partaient dans les aigus, piaillant des petits surnoms idiots et les voix d'hommes s'adoucissait avec des sourire niais. Et me voilà au milieu de cette foule béate, cherchant à m'échapper, petit furet que j'étais.
Canard en vadroulle
Surnom : Echymose/UmiBwack Découverte du forum : Demande de partenariat sur Alcatraz Un avis sur le forum : Chu. °u° Premier mot qui te vient à l'esprit : Frites ._. (J'ai super faim.) Si je te disawesome : [Narnar]Les canards, c'est très bien aussi. Même si personnellement j'ai plus un faible pour les canards, en étant un. Mais bon on peut pas discuter des goûts et des couleurs c'est comme ca. Un mot pour la fin : WHO LET THE DOGS OUT ? WHA- WHA- WHAWHA.
Mon beau miroir ...
Si vous entendez parler d'Hellios, on vous dira qu'il est séduisant, charismatique, et qu'il sait vous attirer dans son lit comme il le faut. Cependant, à bien y regarder il n'est pas spécialement beau. Ce qu'on voit du tout premier abord ce sont ses cheveux bleus, jamais vraiment coiffés. Une coloration qu'il entreprend de restaurer tous les quinze jours. Depuis qu'il est mort, ils ne changent pas de couleur et ça l'arrange. Sa mâchoire extrêmement carrée peut plaire, mais qu'en est-il de son nez cabossé ? Il peut, dans certaines circonstances, lui donner des airs de cow-boy ou de bagarreur, mais la plupart du temps il s'agit simplement d'un nez légèrement tordu, qui remonte en trompette. Ses yeux sont très légèrement bridés, vieil héritage d'une ascendance asiatique, quelque part dans son arbre généalogique patchwork. D'ailleurs ses yeux verts clair, tournant parfois au gris, ne sont plus ce qu'ils étaient, il porte des lunettes depuis l'age de quinze ans, surtout quand il doit beaucoup travailler, mais la plupart du temps, il préférera des lentilles. Ses lèvres elles, sont extrêmement larges, peut-être un peu trop, mais ce qui paraît désagréable à la vue ne l'est plus lors d'un baiser, bon nombre de gens pourront vous l'assurer.
Son corps en général n'est ni beau, ni laid, juste ce qu'il faut. Son buste est entretenu par des heures d’entraînements quotidien, qu'il pratiquait, dans sa vie d'avant, avec son meilleur ami, Oscar. De nature il n'a jamais eu besoin de faire de régimes ou quoi que ce soit dans le genre. Toujours fin, il fallait juste qu'il n'abuse pas des fast-food, mais un par semaine semblait lui réussir plutôt bien. Ses jambes sont longues, ni trop grasses ni trop fines, juste ce qu'il faut. Quand a ses pieds, ils étaient laids, mais cela ne changeait guère du reste des êtres vivants. Autres détails sans importances ? Ses mains sont larges, aux long doigts, une peau douce qui n'a connu que des clavier d'ordinateur plutôt que des pioches et des pelles. Des piercings en bois noir sur son oreille droite et un à la langue. Un caleçon toujours bien rempli, pas de complexe là dessus. Des tatouages idiots datant de son adolescence, un peu partout sur son corps. Au dessus de son téton gauche qui indique ''sex'', au dessus du sourcils droit "xxx" et enfin sur le bras droit, entourant son biceps "toxic" sou-et-surligné.Il a aussi un autre tatouage, dans la nuque ''made in hellios'', echos à celui d'Oscar, au meme endroit "made in eos".
Derrière le masque
Quand un être né tout commence par son prénom. Henri, Eddy, Marina ou Louise. On pouvait dire tout ce qu'on voulait mais on était toujours sur que Marie-Eglantine aurait un destin différent de Paméla. Les prénoms amenaient des clichés, des idées préconçues et influençaient n'importe quel homme, n'importe qu'elle femme. Ainsi ils étaient un premier pas déterminant dans la vie de tous. Parfois on retrouvait des similitudes entres les personnes qui portaient le même prénom. Mais ça c'était avant, dans la vie, la vrai. Après la mort la seule identité que l'on a est un identifiant, un pseudo. Généralement lié à notre vie passée. Moi ? J'avais hérité d'un pseudo qui signifiait beaucoup. Hellios.
Pour commencer, Helios, avec un seul l, était le dieu grec, personnification du soleil. Soleil, astre de la vie, du feu, de la lumière et de la beauté. Un astre si lumineux qu'il s'éblouissait lui même et finissait par vouloir prendre chaque jour plus de temps pour briller, détestant la lune qui le privait de son moment de gloire. Un astre orgueilleux, tout comme je le suis. Mais ce n'est pas simplement ça. Helios était aussi assimilé à Apollon, et par son intermédiaire, à la beauté mais aussi et surtout à l'art et à la musique. Quoi de mieux pour un écrivain. La littérature, le second l de mon Hellios, était un art, était ma vie. Cependant il n'y avait pas que cela, j'étais Hellios parce qu'Oscar était Eos, dieu de l'aurore. Nous avions nos rôles, nous nous étions nommés frères et ces pseudonymes insignifiants que nous utilisions à l'époque, voulait à présent, tout dire. Cet Hellios que j'étais, petit écrivain et petit musicien une légère partie de ma vie, il avait repris le dessus sur Gary. Il était venu se coller à ma peau et il m'était impossible de m'en défaire.
Alors me voici, Hellios. Que dire de moi ? Peut-être commencer par dire que j'ai l'affreux défaut de ne dire que du bien de moi-même ? Au moins, vous serez préparés à ce qui va suivre. Je suis intelligent. Mature. Réfléchi. Voilà ce dont je suis le plus fier, ma capacité de réflexion. Quand je regarde les imbéciles qui citent des noms et des mots sans en comprendre le sens, je m'agace dans mon coin. Puis je leur sourit, avec autant de condescendance que possible et rectifie chacune de leur erreur sans leur laisser le temps d'en placer une. Pourtant je ne suis pas un aristo, ni un bourge, ni un fils à papa, loin de là. Mais je détestes qu'on fasses des erreurs, je déteste ceux qui croient savoir mais qui ne savent rien. Je suis persuadé d’avoir la science infuse et j'assume. D'ailleurs quand je n'ai pas la réponse je réfléchis et je suppose plutôt que de simplement croire tout ce que me dit mon voisin. Je n'aime pas les gens qui se croient forts, ceux qui pensent, comme moi, avoir toujours raison. En fait si je parles de science infuse et de connaissances c'est parce que j'ai la règle première, celle qui me fera toujours avoir raison. Celle qu'Aristote a transmis à ses chers étudiants. Le savoir est de savoir que l'on ne sait pas. N'est-ce pas merveilleux ?
Ouais, malgré mes cheveux bleus et mes tenues de geek à deux franc six sous, je suis cultivé. J'adore ça. Littérature, philosophie, peinture, musique. Je suis curieux, je veux toujours en savoir plus, peut-être pour toujours avoir le contrôle. Le contrôle, j'aime ça. Durant le sexe aussi, je suis toujours au dessus, l'actif. Enfin sauf de rares fois, sauf quand on me fait me sentir comme une pucelle en chaleur et que j'aime ça. Je viens de perdre toute virilité ? C'est faux, c'est bien trop rare que l'on me fasse me sentir comme ça. Oh, et si vous ne l'aviez pas encore remarqué, je suis gay. Ouais, je préfères les torses aux seins. Et ça aussi je l'assumes. Et ne venez pas me traiter de tapette ou vous recevrez un poing dans la tronche. En général je suis plutôt pacifiste. Un conflit ? Une baston qui s'apprête à éclater ? Je reste calme et tente d’atténuer tout ça. Sauf quand on s'attaque à un proche, là ça me fout en rogne, je me retourne et je fous des droites à n'importe qui. J'ai aucune tactique, aucun plan, je frappe juste dans le tas. Et ça marche rarement. Cependant j'y peux rien, quand je suis en colère je perds tout sang froid, et tout vocabulaire aussi. Noms d'oiseaux sur noms d'oiseaux, j'accumule les horreurs et les coups de poings. Mais j'aime ça.
Tout comme j'aime passer pour un badass. Quand j'étais ado surtout, ça se résumait brièvement à ça ; je choppe mon manteau en cuir, clope au bec et je vais sourire en coin devant les imbéciles du pub. Je sors, j'grimpe sur ma moto et je pars en descendant ma visière teintée. J'aime les effets de manches, j'aime qu'on me regarde. J'aime observer cette étincelle de désir et d'envie dans les yeux des autres. J'aime traîner en gang, faire des conneries. Mais j'étais pas un mauvais gosse. Je faisais ça pour m'amuser, quand j'étais en soirée. Et maintenant j'ai changé, j'ai vieillis, j'ai mûris. Alors oui, j'aime toujours autant l'attention mais je fais moins de pirouettes pour l'obtenir. Je sais séduire maintenant, et la séduction est un art bien plus subtil que ''vient on va s'foutre sur la tronche ça va être drole''.
Avec mes amis ? Je suis une crème. Souriant, taquin, protecteur et toujours près à rendre service. Par contre si je donne ma confiance il faut la traiter comme un précieux trésor. Honneur, franchise et respect sont important pour moi. Mes règles d'or. Si tu ne les respectes pas tu as de grandes chances d’apparaître sur la longue liste des gens que je ne peux pas caser. Alors toute la soirée durant je marmonnerais dans ma barbe des remarques désobligeantes que seul Oscar, Eos, comprendra. Il me comprend toujours de toute façon. C'est mon meille.. c'était mon meilleur ami. Il est mort, ou peut-être pas, moi je suis mort en tout cas. Alors je ne le vois plus. Et c'est ça qui fait le plus apparaître en moi cette sensibilité que je ne me connaissais pas. Peut-être parce que malgré tout ce que je peux dire, que l'amour c'est pas pour moi, que j'aime pas les comédies romantiques, que les couples ne servent qu'à se faire mal, malgré tout ça, je l'aimais. Et tout comme mon amitié est réel, mon amour l'est tout autant, voir plus. Lorsque je fais entrer quelqu'un dans ma vie, c'est pour de vrai. Et même si je ne suis pas jaloux, je peux être très têtu, surtout quand il s'agit de retenir une personne.
Je fais pas mal de conneries, je dis ce que je penses, je ne calcule pas toujours ce que les gens veulent et souvent, je m'en veux. Mais je survis. J'essaye de me rattraper comme je peux et parfois j'y arrive. Avec certaines personnes c'est plus simple. Avec Oscar, il suffisait que je le fasses rire et tout était fini. Tellement simple … J'aime ça, la simplicité. C'est agréable, comme la tranquillité et le peu de monde. Je n'aime pas forcement les cris, ni la brouahah d'une foule. Je n'aime pas les personnes hyperactives qui bougent sans cesse, je n'aime pas ceux qui quémandent, je n'aime pas ceux qui se plaignent, je n'aime pas ceux qui sont trop jaloux, je n'aime pas les gens trop tristes, je n'aime pas les gens trop heureux. J'aime juste ceux qui sont eux-même.
Thinggythings : misogyne – aime les fast-food - taquin – aime les chats - condescendant – n'aime pas les chauffards – n'aime pas les piétons – ni les conducteurs - calme – aime les trajets en bus - solitaire - solidaire – aime le feu de bois - franc- chiant – asocial – séducteur – aime les originaux – aime lire avec un thé – cloppeur invétéré – joue du piano – aime les bonbons chimiques – sait tricoter – détestes qu'on chante par dessus la musique qu'il écoute – et qu'on lise par dessus son épaule – fan de séries télévisés – détestes les spoilers – propre sur soi – humain – mort.
Il était une fois ...
Le prénom est un premier pas dans la vie de tout être, mais ce n'est pas le seul ''premier''. Il y a aussi l'ascendance qui règle bon nombre de chose pour vous. La couleur de vos cheveux, brun, celle de vos yeux, olives, votre taille, la forme de votre visage mais aussi et surtout votre éducation. Comment dire .. avec un père professeur de musique et une mère artiste peintre je n'allais pas finir ma vie en tant que footballeur professionnel, on pouvait en être certain. Oh oui, clichés sur clichés. Mais quand votre mère idiote ne mange que du bio parce que c'est une ''artiste'' voyez vous, on se dis que les préjugés ne sont peut-être pas si bêtes.
Oui ma mère était une idiote et non, je n'ai jamais appris à l'apprécier. Elle ne m'a jamais prodiguer le moindre signe d'affection et je devais toujours être parfait. Mes résultats, dès la primaire, étaient surveillés , de près, comme mes compétences artistiques. Malheureusement, si j'avais l’oreille musicale j'étais un véritable nul avec du papier et un crayon, au grand désespoir de ma chère génitrice. Et cela dura jusqu'à ma première année de collègue, et elle est morte. Cancer du sein. Dommage pour elle, pas pour moi. Je n'avais jamais vraiment réussis à l'apprécier. Et c'est peut-être pour ça que je suis devenu un homme misogyne. Tout était tellement plus simple sans elle, même avec mon père. On s'est rapprochés, beaucoup, et notre relation à toujours été, dès lors, de très bonne entente. C'est lui qui me laissa faire ce que je voulais, même si concrètement, l'écriture n'était pas ce que l'on peut appeler un avenir tout tracé.
C'est aussi au collège que je rencontrais Oscar, mon meilleur ami pour le restant de ma vie. Un grand blond aux yeux bleus, toujours prêt quand il faut raconter une bêtise, mais toujours là pour consoler ses amis. Une véritable amitié s'était crée entre nous deux. A la vie, à la mort. Les conneries, on les faisait ensemble, les épreuves, on les surpassait ensemble. Au lycée on s'est mis aux jeux vidéos et à la musique, moi je continuais d'écrire. On avait du se trouver des pseudos. J'étais Hellios et lui Eos. Les frères de la lumière. Tout allait bien dans le meilleur des mondes. Et ensuite la fac. On est partit ensemble dans la même ville, loin de la famille. Je quittais difficilement mon père mais nous sommes restés en contact, toujours. C'est à peu près à ce moment là que je me suis rendu compte que lorsqu'Oscar partait draguer, ça me pinçait le ventre. Alors je faisais pareil de mon coté. Le nombre de personnes avec qui j'ai couché pour compenser Oscar est assez impressionnant. Au départ des femmes puis des hommes, que des hommes. J'étais sur de mon orientation sexuelle et il n'était pas dégoûté, il continuait de me prendre dans ses bras, de rire et sourire avec moi. Et de mon coté je m'employais à trouver des hommes qui lui ressemblait pour coucher avec eux.
Une année, deux années, trois années de fac de lettres puis un abandon. J'avais une licence mais elle ne me servirait pas à grand chose, et je n'avais aucune envie de m'engager dans un master. J'en avais marre, cela ne m’intéressait pas. J'avais vingt-et-un an et je voulais vivre ma vie. Je vivais en colocation avec Oscar qui lui continuais sa faculté. J'ai mis deux ans à écrire mon premier livre, partagé entre écriture et petits boulots miteux. Un roman policier, quand il est sorti il a eu du succès, à mon grand étonnement. Ce n'était pas un best-seller mais il me permettait largement de vivre, alors je continuais. Toujours inséparable d'Oscar. Et aucun de nous deux n'étions en couple, on continuais les conquêtes comme ça, à droite à gauche. Mais au fond nous n'étions que deux. Si l'un des deux allait mal, il n'ya avait que l'autre, qui était toujours là pour lui, mais il n'y avait que lui. Nous avions d'autres amis mais ce n'était pas pareil. Oscar et Gary. Toujours ensemble ces deux là.
Et à 26 ans nous avons chacun pris un appart séparé, dans le même immeuble. Je ne sais pas trop pourquoi. C'était plus facile pour ramener des gens ? Je n'en pouvais plus de ces femmes qu'il ramenait, alors que moi je me cachais, pour ne pas qu'il voit les ressemblances qu'il pouvait y avoir entre lui et les hommes que je choisissais. Mais nous continuions de vivre à deux, sans être véritable ensembles. Le vingt-huit décembre deux-mille-onze on est partis en moto. Je conduisais, il était accroché à moi. Nous roulions sans trop nous soucier du reste, partant comme des aventuriers pour une destination inconnue. J'avais prévu de lui dire, ce soir, que je l'aimais. Je n'en ai pas eu le temps. Une voiture nous à fauché. Mort instantanée. Je ne sais pas si il est mort, ou en vie. Quand j'ai été transféré à New life ce n'était pas ma ville, ni même mon pays. Cela fait maintenant deux ans que je le recherche. Dans le monde des vivants comme dans le monde des morts. Pour faciliter ma tache je suis devenu un deadly dogs. Celui qui a les mains sales. Le traître. Je m'en fiche complètement. Tout ce qui m'importe c'est de le retrouver.
Dernière édition par Hellios le Sam 31 Aoû - 2:22, édité 1 fois
Comme j'ai pu te le dire sur la bobox, j'ai beaucoup aimé ta fiche. Et ton pouvoir aussi, j'ai un faible pour les furets. /runs. La provenance de ton pouvoir titille ma curiosité.
Citation :
Et ne venez pas me traiter de tapette ou vous recevrez un poing dans la tronche.
Espèce de... Espèce de tapette. D: /runs.
Enfin bref, j'aimerai bien citer deux trois trucs, mais y a trop de choses à citer alors... Je ne citerai rien. ♥ J'aimerai bien développer un peu plus mon avis sur ta fiche, mais... Voilà, la fatigue m'envahit, j'ai la flemme, t'm'as volé mon honneur *sob*, touça touça -.
J'te dis bienvenue chez les Deadly Dogs. Et surtout, n'hésite pas à cliquer sur les p'tits liens là haut, ils sont très utiles. o/ Bon RP, et amuse toi bien parmi nous. ~