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| | | Invité | |  Absynth ▬ Green as in jealousy | Kyle Broflovski – South Park
Player Nom : Curtiss Prénom : Abigail Pseudo : Absynth Âge : 18 ans Date de mort : 10/06 – Âgé de 16 ans Pêché capital : L’envie Métier : Artiste
| My power
L’invisibilité. C’est être là et pas là à la fois. C’est être invisible à l’œil de tous. Il ne marche que sur sa personne.
I AM...
Surnom : Garudynes
Découverte du forum : Par partenariat
Un avis sur le forum : J’ai flashé sur l’en-tête du forum, ensuite j’ai tout de suite été intéressé par le contexte
Premier mot qui te vient à l'esprit : J’ai faim ;c
Si je te dis awesome : [narnar]Good. ♥
Un mot pour la fin : Désolé pour le style d'écriture boiteux -et accessoirement les fautes, il est tard chez-moi éè
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Physique - s'accepter ou complexer
Absynth – Passé; âgé de 14 ans Il s’agissait d’une douce matinée de printemps, et à ce temps-ci de la saison, les oiseaux se faisaient une joie de jouer à la basse-cour et de réveiller si gentiment le voisinage, qui endormie, n’eut d’autre choix que se réveiller. Tu gémis. Tu grommelas. Tu plaças l’oreiller sur ta tête afin de cacher les minces rayons de soleil qui parvenait à entrer dans la petite pièce qui te servait de chambre. Tu ne pues t’empêcher de maudire ces volatiles. Retirant l’oreiller, tu t’étiras péniblement avant de te traîner péniblement face au grand miroir qui trônait près de ton lit. C’était ce genre de miroir assez grand pour refléter toute ta personne. Tu entrepris de t’inspecter.
Que tu détestais ce rituel. Et pour être honnête, tu ne savais pas ce que tu détestais le plus entre ce rituel routinier et la personne qui te forçait à l’entreprendre. Car après tout, Madame Adena Curtiss, ta mère, était cette femme pointilleuse et adoratrice d’étiquettes et de bonne et due formes. Un soupir s’échappa de tes lèvres; à bien y réfléchir, t’inspecter –juste pour la forme, était nettement moins pire que de subir une brimade de Madame ta mère.
Un autre soupir. Tu te passas une main distraite dans la tignasse rousse qui te servait de chevelure. Ça non plus, tu n’aimais pas. Ceux-ci était, pas abondant, mais compacte et épais et pas facile du tout à coiffer. C’était-là l’une des raisons pourquoi tu étais un bon fan de cette pratique du « je me lève, et pour mes cheveux, advienne que pourra », et l’avantage dans tout ça, c’était une méchante grande économie de temps. Ton entourage pensait tous que ça te donnait un « je ne sais quoi », une « touche personnelle et très distinguable », « un nid à moineaux », « un endroit idéal pour jeter un chewing-gum ». Pour toi, ce n’était que des cheveux en bataille refusant de t’obéir et n’existant que pour faire plaisir à ta mère. Et merde que tu détestais ça. Au moins, ton toupet n’était pas si pire; or le fait qu’il fallait de temps en temps le raccourcir, celui-ci demandait beaucoup moins d’entretien. En fait, il en demandait aucun.
Et puis, même si tu savais que ça n’allait pas avoir grand résultat, tu tentas de replacer cette tignasse indomptable.
Par la suite, tu te concentras sur ton regard. Oh, cette bonne vieille expression. Monotonie et dénué d’intérêts quelconque. Et ces cernes, preuves accablantes d’une insomnie négligée. La recette idéal pour un look à la « je m’en foutisme ». En fait, ton regard était très morne et, habituellement, n’encourageait personne à engager la conversation. Et s’il n’y avait pas cet éclat de vert, oh que c’est cliché, émeraude, on t’aurait peut-être pris pour mort. Parce que, les morts ont perdu leur éclat.
Et puis, soyons honnête, tu n’as jamais apprécié ton physique. Une stature imparfaite, une grandeur qui ne te plaît guère - un bon mètre soixante-quinze. Mais dans ce monde, qui l’était ? Rien ne te plaisait. De plus, les gens te prenaient souvent pour un anorexique tellement ils te trouvent mince. Sous-alimenté, même. Mais tu n’as jamais fait attention à ce que tu ingurgites.
Que de complexe. Cheveux trop roux, peau trop blanche, presque laiteuse, parsemé de taches de rousseur ici et là… Et cetera, et cetera.
Rien pour t’aider à passer inaperçu.
Tu jettes un œil dédaigneux vers ton cadran; déjà l’heure de descendre et de petit-déjeuner. Fuck la routine pour ce matin, car tu vas être en retard. Rapidement, tu attrapes une chemise blanche et une paire de jean, les enfile et puis descends les escaliers pour rejoindre la salle à manger. Tu retiens un soupir en voyant ta mère assise, un déjeuner anglais face à elle, en train de fixer sa montre. Sans daigner relever la tête, elle te dit :
- Abi-chéri, tu es en retard de deux minutes.
Tu n’oses pas lui faire remarquer que, comme à l’habitude, sa montre est réglée avec quelques minutes d’avance. Tu souris.
- Je sais m’man.
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Caractère - être ou vouloir être
Absynth – Présent; âgé de 18 ans Le son distant de pas dans la neige. La trace de ces mêmes pas tracé dans la neige. Les flocons qui tombent en abondance. Le froid hivernal qui recouvre le petit parc public. Le bruit insoutenable d’un gamin qui gueule au loin. Ton regard s’assombrit. Tu croques rapidement dans la chaude brioche qui te sert de quatre heure et tu t’empresses de plier bagage. Malheureusement, trop tard. La source du bruit intempestif se rapproche et t’enlace. Soudainement, le ciel semble être plus intéressant à regarder, car tu roules des yeux. Soupir. Tu tentes de te décoller – sacrifiant ta brioche, mais sans succès. Tu lances un regard noir.
- Dégage.
Tu tentes une fois de plus à te défaire de l’emprise. Tu réussies. S’ensuit un gémissement de frustration de la part du gamin qui te retenait captif. Tu soupires, encore. Tu n’as jamais eu de patience avec ce type de personnalité. Les gens trop heureux, optimiste, débordant d’énergie. Ceux pour qui la vie est d’un rose fuchsia à t’en décoller la rétine. T’es le contraire, plutôt. Maussade. Froid, distant. T’as jamais vraiment la présence des autres et entre toi et moi, le silence a toujours été meilleur musique que les bruits sourd provoqué par des gens pour lequel tu ressens niet sauf de la pure indifférence.
En fait, ce n’est pas que tu les déteste, en fait si, mais non. C’est compliqué. Ils ne t’ont rien fait, mais pourtant, il y a quelque chose chez eux qui te donnent envie. Envie de t’arracher les cheveux. Envie de te taper la tête contre le mur. Envie d’être peut-être comme eux. Soupir, t’effaces aussitôt cette pensée. Impossible que tu envies une telle insouciance. Puis, le gémissement nasillard de ton camarade –camarade, depuis quand?- te parvient.
- Ohn, mais, oooohn. T’es vraiment pas marrant.
Tu ne lui accorde pas même un regard et tu ramasses ta malheureuse brioche, maintenant froide, tu l’époussette avant d’en prendre un morceau.
- Tant mieux, je ne suis pas là pour l’être.
Un ton cassant, froid. L’envie d’y sortir une réplique assassine bien méchante –et surtout ayant pour objectif de te débarrasser de lui, t’avais parvenue, mais tu te retins. Après tout, le gamin n’avait pas encore épuisé la courte réserve de patience que tu possédais. Et de toute façon, il ne semblait pas t’écouter, plutôt intéressé par ta pâtisserie froide, et sans ton consentement, il te la prit des mains.
- Franchement, tu ne devrais pas t’acharner sur un truc froid, probablement contaminé par les tas de bactéries qui jonche sur le sol. En plus, il neige.
Blasé, tu ne prends pas la peine de reprendre ton bien. Blasé c’est le mot. T’es toujours blasé. Il te semble que rien n’est digne de ton intérêt. Et, pour être drôle, tu ne blâmes personne, car tu sais que c’est de ta faute si tu ne t’intéresses à rien. Rien sauf ton art. Néanmoins, ça ne te dérange pas de d’accorder une petite politesse; répondre. Même si c’est souvent simple et concis. Très bref, mais mieux que rien.
- À qui la faute.
Question rhétorique. Qu’il se sente coupable, le môme. Mais encore une fois, il en fait à sa tête et lance ton bien, enfin, ce qui en était, dans la poubelle la plus proche. Tu souhaites qu’il rate. Le destin ne t’aime pas, et le gamin réussie. Il se rapproche de toi et contemple le tableau que tu étais en train de ranger afin de l’éviter. Il est maladroit et fait tomber le tout. Pinceaux et aquarelle tâchent la neige. Soupir des soupirs. Les gens te disent que tu n’as pas de patience, mais comment peux-tu en avoir face à l’incompétence du monde entier. Il s’excuse et se tâche de tout ramasser.
- Désolé, tu ne m’en veux pas, hein ?
Bien sûr que tu lui en veux, mais tu te retins de lui dire. Ton entourage t’a souvent reproché ton sérieux qui faisait en sorte de te rendre facilement frustré et colérique. Depuis ta mort, du faisait d’énorme progrès. Comme quoi la mort rend patient. Le gamin enchaine.
- Oh, tu peins. C’est, euhm, comment dire. Très spéciale ? Tu dois en vendre beaucoup.
Seraient-ce des étincelles que tu sembles discerner dans son regard ? Tu te grattes le crâne, t’efforçant de trouver une réponse approprié. Certes, ton art a toujours été « spécial ». Mais ce que le gamin cache dans son ton, c’est spécial. Spécial comme dans « étrange », « bizarre », « uniquement unique ». Une façon gentille de dire « effroyablement moche ». La vérité est que, tu as beau être un artiste, mais peindre pour soi, c’est génial, mais quand le « pour soi » entre en collision avec le « peindre pour survivre », c’est mauvais. Car honnêtement, tu ne vends pas. Tu as du mal à faire de l’argent car peu de gens aiment ton style. Tu ne réponds pas. Face à ton silence, il reprend.
- Je vais prendre ça pour un oui.
Il remet le matériel en place.
- Peint un portait de moi, une fois. Ça serait génial. Je l’afficherai dans ma chambre. Ça te fera une pub sympa. Sur ce, j’ai des courses à faire, mais, te croiser, c’était bien. On devrait échanger nos contacts. Enfin, pas maintenant, car tu sembles occupé, mais une prochaine fois. Ça serait sympa.
Il retourne sur ses pas et s’en va, agitant la main au passage. Il ne te voit pas, mais tu te surpris à lui envoyer la main.
Maintenant seul, un sentiment d’amertume te parvient. Et soudain, tu sais. Tu sais la cause de ton malheur, la cause de ta haine envers ce type de personne; leur liberté. Cette façon si naïve et insouciante de vivre, de voir le monde d’une vision multicolore. Et surtout, cette aisance d’exprimer toutes émotions.
Et secrètement, tu sais que tu ne seras jamais comme cela. Et ça te mène à cette envie, cette jalousie maladive de vouloir, même pour une courte duré, être à leur place.
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Histoire - différence entre le passé et le futur
La vie en elle-même n’était qu’une grosse arnaque basée sur un coup de dés. Ensuite, la population de la planète Terre n’était rien d’autre qu’une belle bande d’hypocrite. Et pour finir, aucun de ses hypocrites ne pouvaient tolérer la présence de gens cyniques.
Et tout ça se mélangeait en une belle équation qui se résultait à ces simples mots : la vie ne vaut pas la peine d’être vécue.
Tu devais avoir quinze ans lorsque tu en vins à ces réalisations. C’était simple, les échecs, les ennuies, les ennemis, la famille… Aucun d’entre eux ne valait la peine de souffrir en vivant dans une société ne pouvant accepter ta façon de penser. Sûr, tout le monde –étant le peu d’amis que tu possédais- ne cessaient de te répéter de changer et que broyer du noir ne servait à rien, sauf à les éloigner. Tu avais beau leur répéter mainte et mainte fois que tu n’étais pas prône au négativisme et que ta façon de voir les choses n’était que la simple, dure, cruelle réalité.
Après tout, ce n’était pas ta faute si le monde ne pouvait assumer leur propre hypocrisie.
À seize ans, tu n’avais carrément plus envie de vivre. Se lever le matin représentait une corvée et bien franchement, si tu n’avais pas si peur d’avoir mal, de souffrir physiquement, il y a de cela un bon moment que tu n’aurais plus été de ce monde.
C’était ton rêve; disparaître sans laisser de trace. Une mort courte, non souffrance, non dramatique, seul. Loin de tous les regards. Et s’il y avait un truc que tu ne voulais certainement pas vivre, ou plutôt expérimenté, c’était cette mort, celle publique. Causée majoritairement par les accidents, les tragédies ou les jeunes poussés au suicide par intimidation. Oh non, tu ne voulais pas vivre ça. Ces choses-là étaient toujours dramatisées; médiatisées.
Et si l’autre vie existait, ou encore même le paradis –pas que tu risquais d’y mettre les pieds, tu étais athée-, tu te ferais une joie de regarder tous ces faux-amis pleurer ta mort dans le seul but de paraître bien devant les milliers de spectateur. Et si, par mal chance ça l’arrivait un jour, tu t’étais juré –ou que tu sois- de venir botter, posséder, rendre misérable, ces hypocrites.
Tu ne savais comment l’expliqué, c’était une sorte de lassitude. Un peu comme un travailleur en ayant mare de la monotonie de son travail. Et pour être honnête, tu avais peur de la vie adulte. C’était un gros paradoxe; être lassé de la routine, mais d’avoir peur du changement.
C’était là l’une des nombreuses raisons qui te poussaient à passer à l’acte. Certainement, il y en avait d’autres, moins grave selon toi, comme ta famille dysfonctionnelles.
Mais au bout du compte, la raison qui comptait le plus était que tu vives une vie trépidante, que tu te maris, aies des enfants ou encore une belle carrière, tu avais le sentiment que quoique tu fasses, tu n’arriverais jamais à marquer l’histoire.
Ce fût en octobre que tu en eus marre. Être étudiant et occuper un emploi à temps partiel n’avaient rien de l’ordinaire. Sauf que tu travaillais dans une petite boîte. Ta patronne, c’était la plus gentille, la plus douce, la plus compréhensive. Le boss parfait. Et ça, ce fût avant que tu t’aperçoives qu’elle était la reine des hypocrites. Elle aimait bien arriver en retard, étirer ses pauses-dîné, augmenter son salaire, alors que toi, t’étais un peu son esclave. Sous payé, obéissant, n’osant pas s’opposer.
Être son esclave, tu tolérais bien. Ce que tu ne tolérais pas, c’était de te sentir vide et sans but.
Puis tu décidas que tu n’avais rien à perdre, et surtout rien à gagner et tu en finis.
Et ce fût noir. Noir. Et encore noir.
Sauf que tu rouvris les yeux et…
Ce que tu vis n’était pas du tout ce que tu avais pensé.
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Dernière édition par Absynth le Lun 5 Aoû - 23:32, édité 9 fois |
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| | Invité | | | Narcisse | | Absynth ▬ Green as in jealousy | Bonjour, et bienvenue sur new-life.
Si tu as des questions, et/ou besoin de précisions, n'hésite pas à venir me voir. ~
Good Luck pour la fin de ta fiche. o/
... Kyah. South. Park. *-*
... Kyah. Kyle. Ky~le. ♥
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| | Narcisse | | | Invité | | Absynth ▬ Green as in jealousy |
Merci merci, avec mille ans de retard. Quoique, je crois avoir déjà mentionné un petit merci sur la Cb... Ou pas.
Bref, désolé de l'énorme retard, vacance plus boulot plus, les autres trucs qui composent la vie ont pris le dessus. Mais l'important c'est que ça soit finit /huzzaaah/
L'histoire est, euh, bizarre et, euh, bizarre. Et pas beaucoup détaillée, mais je préfère élaborer plus en RP.
Et Kyle, c'est totalement mon idole xD
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| | Invité | | | Narcisse | | Absynth ▬ Green as in jealousy | Je crois que si. owo
Et je crois que tu m'avais demandé pour t'aider pour ton groupe. J'ai essayé de me mettre un peu dans la peau dans ton personnage, donc j'espère que j'ai réussi à bien le cerner. Ce n'est que des propositions que je fais ici, j'explique un peu pourquoi tel ou tel groupe m'est venu en tête. .w.
Eh bien au début, j'ai pensé que Deadly dog pourrait très bien t'aller comme groupe, vu que déjà, ton personnage c'était suicidé, et en plus je l'imaginais bien être un Dealdy dog rebelle, qui préférait rester dans son coin à peindre, ou faire autre chose plutôt que d'aller surveiller les Players qui ont un but pour la plus part, qui ont cette petite lumière dans leur yeux, ces gens naïfs qui croient encore au fait qu'ils peuvent "revivre", touça. (ou quelque chose comme ça?)
Mais après, je me suis dit que ton personnage pourrait également être pas mal dans le groupe des Players. Un Player rebelle aussi. (ça en manque par ici.) Je l'imaginais bien refuser de faire les missions la plus part du temps, puisqu'il aurait très bien compris que ça ne servait à rien de les faire. Après tout, revivre pour vivre de nouveau sans but... Et puis, je l'imaginais bien avoir compris que jamais personne ne revivra de toutes façons. Alors, comme en compensation pour ses peintures qui ne se vendent pas très très bien, et grâce auxquelles il ne peut pas gagner sa vie comme il le souhaiterait, il pourrait de temps en temps participer aux missions. Mais juste pour vivre.
Enfin, je ne sais pas si l'un de ces deux groupes te tente. Je ne savais pas trop comment te présenter la chose, donc j'espère que ça ne te gêne pas plus que ça que je suis allé jusqu'à projeter ton personnage dans des scénarios. owô |
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| | Narcisse | | | Invité | | Absynth ▬ Green as in jealousy | |
| | Invité | | | Stain | | Absynth ▬ Green as in jealousy | J'aime bien ton petit rouquin blasé, mais encore plus ta façon d'écrire. J'ai hâte de te voir validé ~ |
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| | Stain | | | Narcisse | | Absynth ▬ Green as in jealousy | | Ouki. Je peux donc t'annoncer : Fiche validée. ♥ Enfin, le petit retard, ce n'est pas trop grave, l'important c'est d'avoir fini. ♥ -la vie, touça, on comprend tous.-Je n'ai pas vraiment trouvé ton style d'écrire boîteux, j'ai d'ailleurs bien aimé comment tu as présenté ton caractère et ton physique. C'plutôt original, et j'aime ça. -j'aime beaucoup de choses. J'ai un grand coeur-De même pour ton histoire. C'est aussi sympa quand tout n'est pas détaillé. Ca permet de découvrir des choses tout au long du RP, et tout -j'arrive pas à finir mes phrases, j'ai sommeil ;w; -. Enfin bref, ta fiche est cool, ton perso' est cool, j'te dis "amuse-toi bien ici et bon RP ♥", j'te conseille de t'amuser avec les petits liens là haut, j'te valide, et j'vais dormir. ~ |
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